Blade : Trinity

Blade : Trinity

David S. Goyer

20041 h 46 min
Résumé

À l'aide d'une manipulation d'image aussi géniale que machiavélique, les vampires ont réussi à piéger Blade : sur un document vidéo, on le découvre en train de massacrer... un humain. Pour le FBI, Blade devient l'ennemi à capturer. Pourchassé par les hommes et condamné par les vampires, Blade va devoir se battre sur tous les fronts. Les vampires, qui multiplient les alliances secrètes avec des humains renégats, sont sur le point d'utiliser son propre ADN pour ressusciter celui qui, il y a bien longtemps, fut le premier et le plus puissant d'entre eux. Entre course contre la montre et les pièges qui se multiplient, l'affrontement est total. Cette fois, Blade aussi va devoir montrer les crocs...

Métadonnées
Titre Blade : Trinity
Titre original Blade: Trinity
Réalisateur David S. Goyer
Date de sortie 8 décembre 2004
Pays  États-Unis
Langues Esperanto, Anglais
Durée 1 h 46 min
Acteurs
Avec : Wesley Snipes, Jessica Biel, Ryan Reynolds, Kris Kristofferson, Dominic Purcell, Parker Posey, Natasha Lyonne, James Remar, John Michael Higgins, Patton Oswalt, Callum Keith Rennie, Paul Michael Lévesque, Françoise Yip, Mark Berry, Paul Anthony, Michael Anthony Rawlins, Ginger Broatch, Eric Bogosian, Erica Cerra, Clay Cullen, Shannon Powell, Kett Turton, Brian Steele

Vu le 28 avril 2005
Avis : Réalisation pourrie, direction d’acteurs pourrie, histoire pourrie, effets spéciaux assez pourris. Après la jeunesse de Blade et la maturité de Blade, voici la décrépitude de Blade, dont on aurait pu se passer. Je vais tout mettre sur le dos du réalisateur et des scénaristes qui ont réussi à cochonner en beauté une histoire qui aurait pu être pas mal et dans la continuité des deux autres. Même Snipes n’arrive plus à porter le film sur ses larges épaules alors qu’il aurait suffit de coller un pain à Ryan Reynolds pour déjà se débarrasser d’un gros boulet dès le départ. Dans le genre toujours plus fort, toujours plus méchant, on aurait rêvé mieux que John Doe, pardon, Dominic Purcell qu’à la base j’aime bien, mais qui manie aussi bien l’épée que moi une scie à métaux. Voilà un film qui ne méritait clairement pas d’être vu au cinéma et apparemment Snipes est d’accord avec moi.

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