Films vus 59 – La Bouilloire Magique

Slumdog Millionaire (2008) : Depuis Children of Men, je n’avais pas été aussi partagée entre noirceur absolue et espoir. Je n’aime d’ailleurs pas cette façon de présenter le film comme un film feel-good parce qu’honnêtement il y a des passages sacrément durs à encaisser et où on sent qu’on fait plus que frôler la réalité. Bien-sûr pour contrebalancer, il y a des moments de pur bonheur qui font chaud au cœur. Au final, le film est plutôt équilibré et il est difficile d’en sortir sans que ça travaille là-dedans. BO magique en passant (je continue à lui faire de la pub mais qu’est ce qu’elle fait du bien par là où elle passe !!)
Repo! The Genetic Opera (2008) : J’en ai parlé en long en large et en travers dans cet article.
Amusement (2009) : : Trop long et trop chiant. La sublime Katheryn Winnick n’arrive pas à sauver le film, malheureusement.
Madagascar: Escape 2 Africa (2008) : Bien moins bon que le 1, trop linéaire, moins drôle dans l’ensemble mais des pingouins bien mieux exploités au point qu’ils éclipsent complétement tout le reste. Vive les pingouins !!
Live Free or Die Hard (2007) : Efficace et prenant. Un peu long sur la fin. Je ne dis pas que je le reverrai 2 fois (contrairement aux autres) mais il remplit son contrat divertissement sans soucis. Exactement dans la même veine, j’ai préféré Eagle Eye.
Thirteen (2003) : J’en avais entendu beaucoup de bien et au final je suis assez déçue. Le film a un peu le cul entre deux chaises et du coup moi aussi. Cette descente aux enfers adolescente aurait été sans doute plus saisissante si le personnage de la mère avait été irréprochable mais là en gros le côté désemparé ne prend pas pour moi. Heureusement la fin est assez réussie et sauve pas mal le reste mais ça reste une histoire bancale.

3 commentaires pour “Films vus 59”

Je profite d’une pause et d’un article films pour te dire de laisser une autre chance à kitamura et d’essayer « alive ». J’en ferai une critique sur cinemasie dès que je récupère le net, mais l’ambiance est formidable. a voir aussi, son court métrage « the messenger », qui est peut être ce qu’il a fait de mieux, que ce soit techniquement ou même en matière de scénar.