Skip to content

Menu

  • Accueil
  • Culture
    • Livres
      • Avis chapitrés
      • Couv’
      • Extraits et citations
    • Cinéma
      • Avis en 24 images/s
    • Mangas/BD/Comics
      • Avis phylactèrisés
      • Avis tramés
    • Séries TV
      • Avis en série
      • Avis Drama
    • Anime
      • Avis celluloidés
    • Musique
    • Jeux
  • Tous les avis listés
    • Des livres critiqués
    • Des films vus
    • Des avis tramés
    • Des avis celluloidés
  • Photos
  • Voyages
    • Japon
    • Shanghaï
    • Chine
    • Maroc
    • New York
  • Tanukisme
    • Diabète
    • Coups de Gueule
    • Humour
    • Google Whoring et cie
    • Local
    • Maison&Travaux
    • Parisianisme
  • Écriture
  • Revue de presse
  • Divers
    • Cimetière des posts cassés

Archives

  • décembre 2024
  • novembre 2024
  • octobre 2024
  • janvier 2024
  • novembre 2023
  • octobre 2023
  • septembre 2023
  • août 2023
  • juillet 2023
  • mai 2023
  • avril 2023
  • mars 2023
  • janvier 2023
  • novembre 2022
  • juillet 2022
  • juin 2022
  • avril 2022
  • janvier 2022
  • octobre 2021
  • septembre 2021
  • juillet 2021
  • juin 2021
  • mai 2021
  • avril 2021
  • mars 2021
  • février 2021
  • janvier 2021
  • décembre 2020
  • octobre 2020
  • juin 2020
  • avril 2020
  • mars 2020
  • février 2020
  • décembre 2019
  • novembre 2019
  • octobre 2019
  • septembre 2019
  • juillet 2019
  • février 2019
  • janvier 2019
  • novembre 2018
  • août 2018
  • juin 2018
  • mai 2018
  • avril 2018
  • mars 2018
  • février 2018
  • janvier 2018
  • décembre 2017
  • novembre 2017
  • avril 2017
  • mars 2017
  • février 2017
  • janvier 2017
  • octobre 2016
  • septembre 2016
  • juillet 2016
  • juin 2016
  • mai 2016
  • avril 2016
  • mars 2016
  • janvier 2016
  • décembre 2015
  • novembre 2015
  • octobre 2015
  • septembre 2015
  • août 2015
  • juillet 2015
  • juin 2015
  • mai 2015
  • avril 2015
  • mars 2015
  • février 2015
  • janvier 2015
  • décembre 2014
  • novembre 2014
  • octobre 2014
  • août 2014
  • juillet 2014
  • juin 2014
  • avril 2014
  • mars 2014
  • février 2014
  • janvier 2014
  • novembre 2013
  • octobre 2013
  • septembre 2013
  • août 2013
  • juillet 2013
  • juin 2013
  • mai 2013
  • avril 2013
  • mars 2013
  • février 2013
  • janvier 2013
  • décembre 2012
  • novembre 2012
  • octobre 2012
  • septembre 2012
  • août 2012
  • juillet 2012
  • juin 2012
  • mai 2012
  • avril 2012
  • mars 2012
  • février 2012
  • janvier 2012
  • décembre 2011
  • novembre 2011
  • octobre 2011
  • septembre 2011
  • août 2011
  • juillet 2011
  • juin 2011
  • mai 2011
  • avril 2011
  • mars 2011
  • février 2011
  • janvier 2011
  • décembre 2010
  • novembre 2010
  • octobre 2010
  • septembre 2010
  • août 2010
  • juillet 2010
  • juin 2010
  • mai 2010
  • avril 2010
  • mars 2010
  • février 2010
  • janvier 2010
  • décembre 2009
  • novembre 2009
  • octobre 2009
  • septembre 2009
  • août 2009
  • juillet 2009
  • juin 2009
  • mai 2009
  • avril 2009
  • mars 2009
  • février 2009
  • janvier 2009
  • décembre 2008
  • novembre 2008
  • octobre 2008
  • septembre 2008
  • août 2008
  • juillet 2008
  • juin 2008
  • mai 2008
  • avril 2008
  • mars 2008
  • février 2008
  • janvier 2008
  • décembre 2007
  • novembre 2007
  • octobre 2007
  • septembre 2007
  • août 2007
  • juillet 2007
  • juin 2007
  • mai 2007
  • avril 2007
  • mars 2007
  • février 2007
  • janvier 2007
  • décembre 2006
  • novembre 2006
  • octobre 2006
  • septembre 2006
  • août 2006
  • juillet 2006
  • juin 2006
  • mai 2006
  • avril 2006
  • mars 2006
  • février 2006
  • janvier 2006
  • décembre 2005
  • novembre 2005
  • octobre 2005
  • septembre 2005
  • août 2005
  • juillet 2005
  • juin 2005
  • mai 2005
  • avril 2005
  • mars 2005
  • février 2005
  • janvier 2005
  • décembre 2004
  • novembre 2004
  • octobre 2004
  • septembre 2004
  • août 2004
  • juillet 2004
  • juin 2004
  • mai 2004
  • avril 2004
  • mars 2004
  • février 2004
  • janvier 2004
  • décembre 2003
  • novembre 2003

Calendar

décembre 2024
L M M J V S D
 1
2345678
9101112131415
16171819202122
23242526272829
3031  
« Nov    

Catégories

  • Anime
  • Avis celluloidés
  • Avis chapitrés
  • Avis Drama
  • Avis en 24 images/s
  • Avis en série
  • Avis phylactèrisés
  • Avis tramés
  • Cimetière des posts cassés
  • Cinéma
  • Coups de Gueule
  • Écriture
  • Extraits et citations
  • Jeux
  • Livres
  • Local
  • Mangas/BD/Comics
  • New York
  • Photos
  • Revue de presse
  • Séries TV

Copyright La Bouilloire Magique 2024 | Theme by ThemeinProgress

La Bouilloire Magique
  • Accueil
  • Culture
    • Livres
      • Avis chapitrés
      • Couv’
      • Extraits et citations
    • Cinéma
      • Avis en 24 images/s
    • Mangas/BD/Comics
      • Avis phylactèrisés
      • Avis tramés
    • Séries TV
      • Avis en série
      • Avis Drama
    • Anime
      • Avis celluloidés
    • Musique
    • Jeux
  • Tous les avis listés
    • Des livres critiqués
    • Des films vus
    • Des avis tramés
    • Des avis celluloidés
  • Photos
  • Voyages
    • Japon
    • Shanghaï
    • Chine
    • Maroc
    • New York
  • Tanukisme
    • Diabète
    • Coups de Gueule
    • Humour
    • Google Whoring et cie
    • Local
    • Maison&Travaux
    • Parisianisme
  • Écriture
  • Revue de presse
  • Divers
    • Cimetière des posts cassés
mardi 3 Déc 2024

La Doublure de Mélissa Da Costa

Avis chapitrés

Quatrième de couverture : Une jeune femme fragile en quête d’un nouveau départ. Un couple magnétique et fascinant prêt à lui ouvrir les portes de son monde doré. Un trio pris au piège d’un jeu cruel et d’une dépendance fatale… Dans ce roman sombre et envoûtant, Mélissa Da Costa explore, à travers le récit d’une relation toxique, la face obscure de l’âme humaine et les méandres du désir. Après les succès de Tout le bleu du ciel, des Lendemains ou encore de Je revenais des autres, livres aux deux millions de lecteurs, l’écrivaine révèle une nouvelle facette de son talent.
 
Note : Pour cause de gros agacement, je ne vais pas me priver de spoiler.
 
Avis : Qui aurait pu prédire que je lirais un jour un livre de Mélissa Da Costa ? Certain·e·s s’en sont même étonné·e·s sur le moment tant elle est loin de mes univers de prédilection. Et pourtant, sur conseil d’une amie, j’ai lu La Doublure, qui est réputé très différent de tous les autres livres de l’autrice. Sur ce point, je ne me prononcerai sans doute jamais, mais au vu des avis des fans, ça semble être le grand écart sans échauffement.

Je vais évacuer très rapidement la raison pour laquelle je ne me risquerai pas à poursuivre l’aventure avec ses écrits : je trouve le style très pauvre, facile à lire certes, mais sans aucune saveur. L’avantage, c’est que je n’ai jamais lu 700 pages aussi vite. De plus, c’est globalement très sage et faussement transgressif. Bien sûr, tout dépend de ce que vous lisez d’habitude. Des choses qui seront choquantes pour certaines personnes ne le seront pas pour d’autres.

Si je ne devais retenir qu’un point positif, ce serait la façon dont l’art s’entremêle au récit et vient donner de la profondeur au personnage de Clara au passage. J’ai souvent reconnu les œuvres grâce aux descriptions précises qui en sont faites, et quand je ne savais pas, j’allais regarder rapidement sur Internet. C’était toujours enrichissant. Cette partie-là est très intéressante et contribue à construire l’ambiance morbide du récit.

Pour ce qui est du reste de l’intrigue, beaucoup de retournements de situation sont assez prévisibles, d’autant plus que l’autrice éclaire certains indices avec un projecteur de stade de foot. Ça donne la mauvaise sensation d’avoir toujours 150 pages d’avance sur l’héroïne. Et puis, il y a le côté sulfureux du livre. Parlons-en. Forcément, quand on voit la sexualité hétéronormée et très passive d’Evie, on part de loin. Bien évidemment que tout va lui paraître immoral en comparaison. Le livre joue amplement sur les clichés associés au libertinage et au BDSM, mais tombe dans les mêmes écueils qu’un Cinquante nuances de Grey. Il est assez évident que l’autrice s’est documentée, mais est restée très en surface de ces sujets, même si l’histoire pourrait donner l’impression du contraire.

Passons maintenant aux personnages et à leurs névroses, puisque finalement tout repose sur ça.

Evie. Evie. Evie/Eve. Quel personnage plat ! Elle est passive, influençable, manipulable, sans personnalité. À la fois capable d’esprit critique et totalement idiote. À l’image d’Anastasia Steele, elle est une oie blanche, une proie idéale pour les prédateurs. J’ai honnêtement pensé – espéré ! – qu’elle aurait une trajectoire où le sexpowerment en ferait une héroïne forte, histoire de la sauver un peu. Mais non, elle reste insipide d’un bout à l’autre. À noter que si elle n’est pas saoule ou droguée, elle ne couche pas, ce qui en dit long sur son consentement réel dans ces moments-là. Comme avec 365 DNI, je me suis encore retrouvée aux portes du coma éthylique à cause de tout ça.

En plus d’un ex toxique, Evie arrive avec une mère maltraitante et rabaissante dans ses bagages psy. Rôle que finit par endosser Clara.

Clara, donc. En bonne méchante, elle est bien entendu la plus intéressante du livre. Elle, qui se prend pour Lilith, la femme fatale, la femme par qui le drame arrive, est le personnage le mieux construit, avec beaucoup de niveaux de lecture. Elle est une prédatrice dominatrice qui aime avoir toute l’attention des hommes qui l’approchent, tout en donnant l’impression d’être prisonnière de cette image et que celle-ci cache quelque chose de plus profond et noir. Et parfois, elle se transforme en artiste vaporeuse aux pieds nus qui hante son atelier nuit et jour, imprégnée d’idées sombres. J’ai d’ailleurs beaucoup aimé sa manière de parler de son processus créatif et de la façon dont lui viennent ses idées. Ça recoupe bien celui des écrivains.

Comme l’ensemble du casting, Clara est quelqu’un qui ne va pas bien, mais ce n’est pas vraiment creusé. On sait juste qu’elle a un rapport au père compliqué et une mère invisible, ce qui ne doit pas être un hasard. Elle cherche à la fois à lui prouver qu’elle vit sa vie comme elle l’entend, tout en restant dépendante de son besoin de reconnaissance et surtout de ses interventions pour lui sauver la mise. Rôle qu’adopte également Pierre, le mari. Elle est donc pour son père, comme pour les autres hommes de son entourage, la femme que l’on ne peut pas faire plier et posséder. Paye ton Électre pas résolu.

Pour terminer cette galerie de portraits, deux mots sur Pierre/Adam, 36 ans sur le papier, mais qui se comporte comme un homme de 50, notamment avec Evie. C’est un personnage assez limpide finalement, dont les actions et la psychologie sont prévisibles. Il est à la fois le sauveur, le défouloir et l’interface avec le père de Clara. C’est aussi un lâche, tout en étant un homme sous emprise. Il est dans une relation qui repose sur son besoin d’être dominé, ce qui aurait pu être sain, mais il y a trop de violence qui sort du cadre et dont il ne jouit pas. Clara sait quand attaquer pour l’atteindre et le rabaisser. Elle tape souvent gratuitement sous la ceinture.

Autant dire que les trois auraient mieux fait d’entamer une thérapie, surtout qu’ils en ont largement les moyens.

Bref, ce livre est un grand bof. Dans le même genre, préférez Clara et la pénombre de José Carlos Somoza. Il y est aussi question d’art, c’est aussi un thriller, mais c’est autrement plus dérangeant.

Tags: La Doublure, Melissa Da Costa

Laisser un commentaire Annuler la réponse

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Préambule

Bienvenue ici,

un certain nombre de posts sont actuellement hors ligne. Ce blog a plus de 20 ans maintenant et, au fil du temps, des liens se sont cassés, des images hébergées ailleurs ont disparu, le grand Internet a bougé, ma vie aussi, et en plus, je suis devenue correctrice entretemps. C'est dire si, aujourd'hui, ce blog a besoin d'un grand nettoyage de printemps.
Même si je ne poste plus autant qu'avant, c'est un lieu précieux pour moi.
En septembre 2024, j'ai refait la déco. Viendra ensuite la mise à jour du contenu. Un travail long et fastidieux puisque j'ai accumulé près de 2800 posts. Je donnerai la priorité aux avis, puis le reste suivra petit à petit.

Bonne visite !


Catégories


Archives


Rechercher


Bouilloire's books

Brainstorm Seduction 3 [Nōnai Poizun Berī 3]
it was ok
Brainstorm Seduction 3 [Nōnai Poizun Berī 3]
by Setona Mizushiro
Cartes et Manipulation
Cartes et Manipulation
by Alex Ferder
Brainstorm' Seduction, Tome 2
it was ok
Brainstorm' Seduction, Tome 2
by Setona Mizushiro
L'idée de base est sympa, mais c'est bien trop pollué par des comportements problématiques. Aujourd'hui, c'est assez pénible à lire.
SPY×FAMILY 5
really liked it
SPY×FAMILY 5
by Tatsuya Endo
Le Dernier des aînés
it was amazing
Le Dernier des aînés
by Adrian Tchaikovsky

goodreads.com

À propos de moi

Qui : Heidi (博蒂)
Contact : bouilloire[at]gmail[dot]com
Bloggercode : B9 d t+ k s++ u-- f i- o+ x+ e l c-
En manque d'idées pour un cadeau ?


Copyright La Bouilloire Magique 2024 | Theme by ThemeinProgress

Gérer le consentement
Pour offrir les meilleures expériences, nous utilisons des technologies telles que les cookies pour stocker et/ou accéder aux informations des appareils. Le fait de consentir à ces technologies nous permettra de traiter des données telles que le comportement de navigation ou les ID uniques sur ce site. Le fait de ne pas consentir ou de retirer son consentement peut avoir un effet négatif sur certaines caractéristiques et fonctions.
Fonctionnel Toujours activé
L’accès ou le stockage technique est strictement nécessaire dans la finalité d’intérêt légitime de permettre l’utilisation d’un service spécifique explicitement demandé par l’abonné ou l’utilisateur, ou dans le seul but d’effectuer la transmission d’une communication sur un réseau de communications électroniques.
Préférences
L’accès ou le stockage technique est nécessaire dans la finalité d’intérêt légitime de stocker des préférences qui ne sont pas demandées par l’abonné ou l’internaute.
Statistiques
Le stockage ou l’accès technique qui est utilisé exclusivement à des fins statistiques. Le stockage ou l’accès technique qui est utilisé exclusivement dans des finalités statistiques anonymes. En l’absence d’une assignation à comparaître, d’une conformité volontaire de la part de votre fournisseur d’accès à internet ou d’enregistrements supplémentaires provenant d’une tierce partie, les informations stockées ou extraites à cette seule fin ne peuvent généralement pas être utilisées pour vous identifier.
Marketing
L’accès ou le stockage technique est nécessaire pour créer des profils d’internautes afin d’envoyer des publicités, ou pour suivre l’utilisateur sur un site web ou sur plusieurs sites web ayant des finalités marketing similaires.
Gérer les options Gérer les services Gérer {vendor_count} fournisseurs En savoir plus sur ces finalités
Voir les préférences
{title} {title} {title}