Articles conseillés de 01-2018

Quelle vie après le niqab ? Rencontre avec celles qui ont retiré le voile Porno, les dernières tendances De quoi mettre de bonne humeur avant la suite 🙂 La culture manga change d’ère | CNRS Le journal Soirée de Poche : Damien Rice | ARTE Concert J’ai beau l’avoir vu trois fois sur scène, je suis plus qu’envieuse. […]

Underground de Haruki Murakami

Quatrième de couverture : Livre d’entretiens, mais aussi réflexion philosophique et autobiographique, un essai indispensable pour décrypter l’œuvre de l’auteur de 1Q84, la trilogie au succès planétaire.
Le 20 mars 1995 se produisait l’attentat le plus meurtrier jamais perpétré au Japon : en pleine heure de pointe, des adeptes de la secte Aum répandent du gaz sarin dans le métro de Tokyo, tuant douze personnes, en blessant plus de cinq mille.
Très choqué, mais aussi révolté par le traitement médiatique par trop manichéen de la tragédie, Murakami va partir à la rencontre des victimes et de leurs bourreaux : rescapés du drame et adeptes de la secte.

[Tag] – Les séries

Piqué à Chani Ta série favorite de tous les temps. Toujours indétrônée : Six Feet Under. La série que tu as un peu honte de regarder. J’ai eu regardé 7 à la maison et La Croisière s’amuse. Ton personnage de série préféré. Actuellement, j’aime beaucoup les personnages de Saul Berenson dans Homeland et de Marie-Jeanne […]

Une femme à Berlin : Journal 20 avril – 22 juin 1945

Quatrième de couverture : La jeune Berlinoise qui a rédigé ce journal, du 20 avril 1945 – les Soviétiques sont aux portes – jusqu’au 22 juin, a voulu rester anonyme, lors de la première publication du livre en 1954, et après. À la lecture de son témoignage, on comprend pourquoi. Sur un ton d’objectivité presque froide, ou alors sarcastique, toujours précis, parfois poignant, parfois comique, c’est la vie quotidienne dans un immeuble quasi en ruine, habité par des femmes de tout âge, des hommes qui se cachent : vie misérable, dans la peur, le froid, la saleté et la faim, scandée par les bombardements d’abord, sous une occupation brutale ensuite. S’ajoutent alors les viols, la honte, la banalisation de l’effroi. C’est la véracité sans fard et sans phrases qui fait la valeur de ce récit terrible, c’est aussi la lucidité du regard porté sur un Berlin tétanisé par la défaite. Et la plume de l’auteur anonyme rend admirablement ce mélange de dignité, de cynisme et d’humour qui lui a permis, sans doute, de survivre.

Commencez à saisir votre recherche ci-dessus et pressez Entrée pour rechercher. ESC pour annuler.

Retour en haut