- Resident Evil: Retribution (2012) :
Plus qu’un. Plus qu’un. Arrivée là, c’est tout ce que je peux me répéter en boucle pour me motiver à continuer. Oui, les films sont devenus tellement mauvais que c’est du masochisme pur et simple. Même les scénaristes (enfin si leur existence est un jour prouvée) sont pressés d’en finir et ça se voit (vu que, visiblement, ils se sont déjà fait la malle). J’ai bon espoir d’arriver à finir à 1 ou 2 étoiles à ce rythme. Allez, plus qu’un. - Oblivion (2013) :
Le film est de qualité honnête. Ni plus, ni moins. C’est plutôt bien fichu, assez prévisible aussi, mais ça se laisse regarder, surtout que visuellement, c’est loin d’être moche. Sans doute pas à revoir par contre. - Now You See Me (2013) :
La bande-annonce était efficace, le casting alléchant et le résultat est très largement à la hauteur de mes attentes. C’est fun, c’est futé. J’ai vraiment passé un très bon moment, même si, à force de répéter les mêmes avertissements, ça finit par avoir exactement l’effet inverse. On pardonnera à Leterrier sa fâcheuse tendance à faire tourner sa caméra autour de son sujet. Mention spéciale à la BO aux petits oignons. - Star Trek Into Darkness (2013) :
J’avais beaucoup beaucoup aimé le premier opus signé JJ. Vraiment beaucoup. J’étais bien loin de m’imaginer que JJ ferait un second film pour les fans qui exclurait autant les gens qui n’ont pas vu la série et les autres films. Je ne me suis pas sentie concernée par l’histoire, les références me sont passées très loin au-dessus de la tête. L’ennui total malgré la présence de Benedict Cumberbatch. Autant dire que je ferai l’impasse sur le prochain (même si le réalisateur sera différent). Et comme l’a dit Kame : au moindre flare dans Star Wars Episode VII (si tant est que j’ai la moindre envie de le voir au moment de sa sortie), c’est chasse à l’homme. Ça n’a rien d’une signature visuelle, c’est juste une très mauvaise idée.
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