Alien, la résurrection

Alien, la résurrection

Jean-Pierre Jeunet

19971 h 49 min
Résumé

Deux cents ans après le suicide de l’officier Ellen Ripley, une équipe de généticiens clone la jeune femme afin de récupérer l’alien vivant en elle, qui n’est autre qu’une reine. À leur grande surprise, le clone de Ripley a hérité de certaines caractéristiques génétiques de l’alien et ce dernier possède en partie la mémoire de Ripley. Afin d’étudier cette fascinante espèce et de lui permettre de se reproduire, les scientifiques font appel à des pirates de l’espace qui leur fournissent des « cobayes humains » pour héberger les embryons d’alien. Les généticiens arriveront‐ils à apprivoiser ces « bébés » ?

Métadonnées
Titre Alien, la résurrection
Titre original Alien Resurrection
Réalisateur Jean-Pierre Jeunet
Date de sortie 12 novembre 1997
Pays  États-Unis
Langues Anglais
Durée 1 h 49 min
Acteurs
Avec : Sigourney Weaver, Winona Ryder, Dominique Pinon, Ron Perlman, Gary Dourdan, Michael Wincott, Kim Flowers, Dan Hedaya, J.E. Freeman, Brad Dourif, Raymond Cruz, Leland Orser, Carolyn Campbell, Marlene Bush, David St. James, Rodney Mitchell, Robert Faltisco, David Rowe, Garrett House, Rod Damer, Mark Mansfield, Daniel Raymont, Cris D'Annunzio, Steven Gilborn, Robert Bastens, Rico Bueno, Alex Lorre, Ronald Ramessar, Nicole Fellows, Tom Woodruff Jr., Joan La Barbara, Archie Hahn, Nito Larioza, Brad Martin, David Prior, Nicholas Talone, Eddie Yansick

Vu le 15 juillet 2008
Avis : Ce film aurait pu s’appeler Alien: Evolution. Avec le premier, c’est mon préféré et là, pas de prise de risque d’être déçue par la version longue, j’ai opté pour la version ciné d’office (surtout que Jeunet dit qu’il est très content de celle-là et que c’est son director’s cut). Ce qui me soulage, c’est qu’il est tout comme je m’en souvenais (ça remonte à moins loin aussi) et que je l’aime toujours autant pour les mêmes raisons : l’humour décalé de Jeunet que j’adore depuis Delicatessen, le cynisme de Ripley, la classe de la bête nouvelle mouture, l’ambiance vaisseau spatial qu’on avait perdu depuis le premier volet, la photographie de Darius Khondji (un fidèle de Caro/Jeunet) qui ravit mes mirettes et enfin le casting dans son ensemble qui joue très bien la carte du second degré. Et puis, le film se tient et il n’y a pas de temps morts. C’est fluide comme un alien dans l’eau.

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