« Comme le funambule / suspendu à son ombrelle // je m'accroche / à mon propre déséquilibre »

Ghérasim Luca

Articles conseillés d’avril 2018

Notre cerveau et les fake news : la vérité prise en défaut De la définition du bullshitting 1984 retraduit : rendre la terreur de Big Brother “dans toute son immédiateté” Vu les commentaires, autant le relire en anglais la prochaine fois. Attaque de Toronto : qui sont les Incels, le groupe de célibataires auquel se réfère […]

Articles conseillés de 03-2018

Collection Voyage Sonore : La ligne fantôme Fut un temps, il était possible de visiter le métro de nuit et de se balader dans certaines de ces stations fantômes. Pour avoir eu la chance de faire cette expédition nocturne, je peux témoigner que c’était une nuit assez magique et historiquement riche. Maintenant, l’Ademas propose, à […]

30 ans 2 chats de Flora et Minikim

Quatrième de couverture : Luce est une Parisienne tout ce qu’il y a de plus banal. Comme des milliers de femmes de son âge, elle a un petit appart, plein d’amis, un travail dans un bureau, des histoires de coeur. Bref, une fille ordinaire, si elle n’avait pas un grave problème : Luce est une fille à chat ! Elle en a deux, et elle fait tout ce qu’elle peut pour leur rendre la vie la plus plaisante possible. De leur côté, Neko et Yoshi utilisent tout leur savoir-faire félin pour bouleverser l’existence de LEUR humaine.

30 ans (10 ans de thérapie) de Nora Hamzawi

Quatrième de couverture : Obsessionnelle, parano et hypocondriaque, Nora Hamzawi partage ses petites angoisses ordinaires avec humour et autodérision. A mi-chemin entre séances chez le psy et journal intime, elle décortique des scènes de nos vies pour mieux y trouver sa place. Comment fait-on pour avoir l’air à l’aise en soirée ? Qui sont ces gens qui fréquentent les stations de skis ? Y a-t-il un âge pour arrêter de regarder La Boum ? Pourquoi est-ce qu’on est obligé de se tutoyer dans les magasins bios ? Son regard sur le monde, sa perception des situations et son désarroi, amusé et sensible, révèlent l’absurdité et la folie du quotidien. En bref, si vous vous demandez régulièrement si vous êtes normal ou à côté de la plaque, cette introspection sans filtre devrait vous aider à relativiser !

Articles conseillés de février 2018

Joyce Carol Oates on Dystopia, Boxing, and Reading Problematic Classics | Literary Hub L’essentiel est repris en dessous de l’interview audio, mais ça reste très intéressant à écouter. Une association anti-PMA prise la main dans un témoignage bidon Ah les joies des banques d’images 🙂 Leïla Slimani : un nouvel horizon pour la francophonie ? […]

Les Passeurs de livres de Daraya de Delphine Minoui

Présentation de l’éditeur : De 2012 à 2016, la banlieue rebelle de Daraya a subi un siège implacable imposé par Damas. Quatre années de descente aux enfers, rythmées par les bombardements au baril d’explosifs, les attaques au gaz chimique, la soumission par la faim. Face à la violence du régime de Bachar al-Assad, une quarantaine de jeunes révolutionnaires syriens a fait le pari insolite d’exhumer des milliers d’ouvrages ensevelis sous les ruines pour les rassembler dans une bibliothèque clandestine, calfeutrée dans un sous-sol de la ville.

Leur résistance par les livres est une allégorie : celle du refus absolu de toute forme de domination politique ou religieuse. Elle incarne cette troisième voix, entre Damas et Daech, née des manifestations pacifiques du début du soulèvement anti-Assad de 2011, que la guerre menace aujourd’hui d’étouffer. Ce récit, fruit d’une correspondance menée par Skype entre une journaliste française et ces activistes insoumis, est un hymne à la liberté individuelle, à la tolérance et au pouvoir de la littérature.

Comment l’amour empoisonne les femmes de Peggy Sastre

Présentation de l’éditeur : Les femmes ont acquis le droit de travailler, de voter, de faire ou non des enfants, de disposer de leur corps et de leurs ressources matérielles. Bref, la libération féminine a eu lieu. Sauf que, dans un monde qui traque les différences sexuelles empêchant les femmes d’atteindre, en proportions équivalentes aux hommes, les positions sociales les plus élevées, il est un élément qu’à peu près personne n’a la présence d’esprit d’interroger. Ce grand absent du débat, c’est le boulet amoureux. Cet essai jette un éclairage drôle et décapant sur la dépendance affective dont souffrent encore trop souvent les femmes. La question n’est pas d’opposer émancipation et amour, mais de comprendre ce que les sciences ont à nous dire sur la toxicité du surinvestissement amoureux.

Articles conseillés de 01-2018

Quelle vie après le niqab ? Rencontre avec celles qui ont retiré le voile Porno, les dernières tendances De quoi mettre de bonne humeur avant la suite 🙂 La culture manga change d’ère | CNRS Le journal Soirée de Poche : Damien Rice | ARTE Concert J’ai beau l’avoir vu trois fois sur scène, je suis plus qu’envieuse. […]

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