Avalon, une grande histoire d’insomnie

Dans mon gros travail de rapatriement plus ou moins consciencieux de mes critiques CinémAsie, je viens de retomber sur ma note sur Avalon de Mamoru Oshii. Juste une note, pas de critique. Vu en avril 2002, j’en ai presque perdu le sommeil pendant 3 jours tellement j’étais high et à fond. Je me réveillais même la nuit pour noter tout ce qui me passait par la tête. Il n’y a que The Fountain et un livre lu récemment (oui oui, toujours le même) qui ont réussi à reproduire cet effet. J’avais éclusé le net, notamment les newsgroups, à la recherche d’indices et d’explications. J’avais même enquiquiné un inconnu de fr.rec.cinema.discussion qui avait l’air d’avoir plein de théories intéressantes sur le sujet. Je viens d’ailleurs de relire les mails conservés avec amour et on était vraiment l’un comme l’autre en plein trip. Je n’ai jamais revu le film depuis. J’ai toujours peur qu’il me refasse le même effet.

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