Diwouidi 18

  • The Myth : Papatte Sans avoir vu ni bande-annonce, ni lu de résumé, je ne sais pas pourquoi mais je m’attendais à autre chose. Sans doute à cause de l’affiche, je m’étais préparée psychologiquement à un film en costumes un peu prise de tête où Jackie Chan n’aurait pas fait le pitre une seule seconde. Bon, la bonne surprise c’est que c’est mi-costume de general, mi-costume de clown avec une faille temporelle entre les deux. Après, est-ce que le côté Jackie-joue-un-rôle-dramatique est réussi, je n’en suis pas si sûre. Par contre le côté clown de combat passe plutôt bien sans être grandiose. La meilleure scène reste celle du tapis collant que l’on qualifiera de vraie scène de coups de tatanes à la Jackie. L’ensemble reste tout de même un peu déséquilibré, oscillant entre gentiment drôle et longuet.
  • Boogeyman : Papatte Nouvelle preuve que le nom d’un acteur (ou d’une actrice : Emily Deschanel) peut me faire acheter la pire des daubes. Enfin la pire pas tout à fait mais on n’est pas loin non plus. Le film est suffisamment « captivant » pour qu’on veuille aller jusqu’au bout. Une fois qu’on a vu la tête du Boogeyman on regrette un peu quand même d’être venu jusque là, même s’il y avait de l’idée dans le pourquoi du comment ce jeune homme est poursuivi.
  • The Cave : Papatte vu le même soir que Boogeyman, c’est dire si j’étais d’humeur à voir des bouses ce soir-là. Malgré les ressemblances sur le papier avec The Descent, on va dire que ça s’en éloigne suffisamment pour être regardable sans jouer au grand concours des ressemblances. Beaucoup de grosses ficelles, une fin qu’on voit venir de très loin, quelques bons perso (Piper Perabo en autres) mais dans l’ensemble c’est parfaitement anecdotique et beaucoup moins flippant que The Descent.
  • Doom : Papatte je ne dirais pas que le film est efficace, je ne dirais pas non plus que le film ressemble au jeu. Doom c’est un film de SF avec une bon petit scénario développé comme il se doit pour ce genre de productions testostéronées avec quelques surprises tout de même vu que j’ai eu presque tout juste sur mes prédictions concernant la fin (je pensais vraiment que The Rock allait mourir en héros… bon c’est pas encore ça, par contre c’était évident que truc et machin allaient survivre). Le gros reproche que je fais au film c’est de nous perdre complètement dans les couloirs (je me perdais moins dans le jeu, c’est dire), en plus comme c’est tout noir, c’est souvent confus niveau action. Par contre, le coup de la camera subjective vers la fin est génial.
  • Resident Evil Apocalypse : Papatte Du mieux et du moins mieux par rapport au premier. Beaucoup plus d’action, une Jill Valentine pas cochonne du tout malgré ses faux airs de Lara Croft (Sienna Guillory, mieux en brune), une Alice au top niveau et un boss de fin de niveau au sourire resplendissant. Curieusement, j’aime bien les zombies dans celui-là, ils m’ont l’air un peu plus vivaces que d’habitude. En contrepartie, la plupart des scènes d’action sont réalisées de manière assez brouillonne et en règle générale même si visuellement l’image est soignée, le réalisateur a eu quelques idées de montage pas heureuses du tout. Sans parler de la fin où on se demande bien si Anderson y avait pensé un peu avant que le tournage ne commence. Bref c’est pas encore ça mais ça ne m’empêchera pas de voir le 3.
  • Nanny McPhee : Papatte une aussi bonne surprise que l’avait été Lemony Snicket’s A Series of Unfortunate Events il y a quelques mois. Encore une histoire pour enfants qui arrive à toucher un public beaucoup plus large dans la joie et la bonne humeur. Les acteurs sont impeccables, y compris la ribambelle de petites canailles. Et il faut voir ce qu’ils font vivre à leur entourage avant l’arrivée de Nanny McPhee : un vrai bonheur 🙂
  • Pride and Prejudice : Papatte Pour tout dire ça serait déjà mieux passé avec quelqu’un d’autre que Keira Knightley dans le rôle principal. Son jeu n’a vraiment rien d’extraordinaire, ça ne sauve pas les meubles. Je reprocherais aussi au réalisateur quelques erreurs grossières de réalisation (ex : la scène où Darcy arrive dans la brume, la scène sur la balançoire, des zooms maladroits sur les visages) qui m’ont fait douter un moment de sa nationalité (mais non il est bien anglais). Dans le même style, j’ai largement préféré Sense and Sensibility avec Emma Thompson même si lui non plus n’était pas parfait à mon goût.

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