Diwouidi 17

  • The Hitchhiker’s Guide to the Galaxy : Papatte Il y a des films qu’on voudrait aimer. Très fort du fond du cœur. Rien que parce que la bande-annonce est géniale, que ça a l’air fun et top délire. Alors oui, j’aurais aimé aimer HHGG mais force est de constater que la bande-annonce est le condensé de tout ce qu’il y a de drôle dans le film et que le seul moment qui m’a vaguement réveillée est celui où quelqu’un dit « Freeze » et que le robot dépressif répond : « Freeze? I’m a robot. I’m not a refrigerator. » Sinon lourdeurs, ennui, somnolence et je crois que je me suis endormie d’ailleurs. Du coup, j’ai moyen envie de lire le bouquin maintenant.
  • Transamerica : Papatte si Felicity Huffman vous a déjà convaincu de ses talents d’actrice dans Desperate Housewives, attendez de voir Transamerica. Un rôle pas évident du tout d’homme qui veut devenir femme et qui découvre à une semaine de son opération finale qu’elle a un fils ado issu d’une vague relation passée et oubliée qui cumule un peu les faux pas. Casse-gueule comme sujet et pourtant le film se laisse particulièrement bien regarder. Ça n’est jamais ridicule, jamais vulgaire, c’est parfois drôle, parfois révoltant et surtout profondément humain. De quoi bien faire réfléchir sur les notions de différences et de tolérance.
  • Dog Soldiers : Papatte J’avais ouï dire que c’était mieux que The Descent. Personnellement, j’ai trouvé les ficelles parfois un peu trop grosse, ce qui gâche pas mal de « rebondissements » du scenario. C’est aussi bien plus drôle. Autant pour The Descent je n’en menais pas large, autant là, c’était la fiesta. A part ça le film est soigné, bien réalisé, très propre, un peu surjoué par moment mais à voir.
  • Angels in America : Papatte Décidément ça n’est pas ma semaine, même avec les mini-séries à succès outre-Atlantique. J’ai mis un peu de temps à en finir le visionnage. Les 3 premiers épisodes m’avaient laissé une drôle d’impression et je m’attendais à une fin grandiose, larmoyante, révolutionnante. Bon, il n’en est rien, même si le jeu des acteurs (et quels acteurs ! Surtout Justin Kirk) est nickel, j’avoue que j’ai du rater les cours sur la politique reaganienne dans les années 80 aux USA. Ah pardon, j’ai effectué ma scolarité en France, c’est normal que ça ne me parle pas. Autant dire qu’une partie de l’histoire m’a paru bien obscure. L’autre partie m’a semblé avancer à 2 à l’heure et les anges c’est sans moi même symboliquement. Bref pas pour moi malgré tout le bien que je pense des productions HBO. Sur le même créneaux, j’avais trouvé And the band played on plus réussi mais qui s’en souvient ? Hin ?
  • The Constant Gardener : Papatte J’ai tout aimé dans ce film. Les acteurs, cette façon de tourner un peu déroutante, un peu moins conventionnelle, les flous de la caméra sur les visages, les flashbacks poignants, ce regard amoureux sur l’Afrique, le jeu des acteurs, le rythme, l’intrigue en 2 temps, Rachel Weisz. Le réalisateur n’en fait jamais trop, il fait juste comme il faut. La fin aurait pu paraître gnagnan. Elle est juste terriblement triste et belle. :'(
  • Junebug : Papatte S’il n’y avait pas eu Benjamin McKenzie dedans, je serais sans doute passée à côté de ce petit bijou. Le film a eu un prix à Sundance l’année dernière et il le mérite. Encore une histoire de rencontre et de choc des cultures. D’un côté une femme de la ville, cultivée, directrice d’une galerie d’art. De l’autre, une famille moyenne de Caroline du Nord. Au milieu, pas mal de préjugés (plus du côté de la belle famille d’ailleurs) et de choses à apprendre sur l’autre. J’ai complètement craqué pour le personnage d’Ashley (Amy Adams, exceptionnelle !), une gentille fille comme on dit mais tellement vraie et touchante. Impossible de résister à sa bonne humeur, sa chaleur, ses sourires. Pour ceux qui auront suivi le lien vers imdb, vous aurez lu comédie dramatique. Prévoyez des kleenex.
  • Underworld Evolution : Papatte Miam Kate ! Je ne serais pas contre un Underworld Revolution ou Underworld Apocalypse par la suite même si ce deuxième numéro m’a quand même paru légèrement inférieur au premier. Certes ça évolue. Certes le méchant est toujours plus grand, toujours plus fort. Certes la mythologie s’établit un peu plus et certes il y a des passages bien gores que je n’ai pas vu venir pour mon plus grand plaisir mais j’ai aussi l’impression que tout se passe trop vite, ce qui enlève un peu de profondeur au film. Il y a un bon univers mais parfois mal exploité et c’est dommage. Mais bon miam Kate quand même !
  • Brokeback Mountain : Papatte Le Wyoming, c’est magnifique ! Sinon, le film a beau être sublime visuellement et bien joué, je lui reproche quand même pas mal de longueurs. J’ai aussi eu une mauvaise sensation de redondance dans les scènes à un moment. Rajoutons à cela mon absence quasi-complète de connexion avec le personnage d’Ennis qui est quand même l’élément central du film. Bref, ça n’est pas la révélation que j’attendais et pas la moindre larme je n’ai versées. Priest m’avait beaucoup plus chamboulée dans le genre amours gays prohibées.

Un commentaire pour “Diwouidi 17

  1. Je l’avais dit qu’H2G2 c’était nul de chez nul!!! Moi aussi la bande annonce m’avait bien plu.. mais le reste n’a pas suivi, j’ai même du quitter la salle!

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