Films vus 76

Période très creuse, entre les livres et les séries, les films n’arrivent plus à trouver de place.

  • Frozen (2010/I) : Papatte La bande-annonce à l’époque de Sundance ne m’avait pas laissé grand espoir quant aux qualités de ce film classé angoisse. Je ne pensais même pas le regarder. 3 jeunes sur un télésiège se retrouvent bloqués alors que la station de ski ferme pour la semaine. Comment vont-ils faire pour s’en sortir alors qu’une tempête de neige approche ? A priori, il n’y avait pas des tonnes de choses à raconter vu le lieu de l’action très restreint. Eh bien, même si le film n’est pas un chef-d’œuvre, je me suis laissée prendre au jeu. Il y a certes certaines scènes de dialogues particulièrement longues qui ne servent qu’à meubler mais à coté de ça, les quelques scènes où il se passe effectivement quelque chose sont très réussies, plutôt stressantes et je me suis quand même demandé comment ça allait pouvoir se finir. En dehors de pas mal de petites incohérences, le film passe plutôt bien.
  • Shelter (2010/II) : Papatte Quand on voit Julianne Moore et Jonathan Rhys-Meyer au casting, on se dit que ça peut-être pas mal. Les deux sont bons acteurs après tout. J’aurais du me méfier parce que Moore m’avait déjà fait le coup avec The Forgotten. Shelter est tout au mieux un téléfilm qui ne mérite pas mieux que de sortir directement en DVD sans passer par la case ciné. Même si la réalisation est plutôt soignée sans être extraordinaire, le film n’a aucune ambition, le scénario est plutôt quelconque même si c’est vrai que Rhys-Meyer a une bonne tête de psychopathe par moment. Mais voilà, quand on l’a vu dans Les Tudors et quelques autres productions à gros budget, on se demande franchement comment il a pu dire oui à ce projet.
  • No Reservations (2007) : Papatte C’est un peu le pendant féminin de The Boys Are Back, du même réalisateur. Et tout comme le film avec Clive Owen, je ne me contente pas de marcher, je cours. Résultat : beaucoup de larmes de tristesse et de joie et grosso modo 90 minutes le nez dans un mouchoir, des moments extrêmement forts dans un sens comme dans l’autre. Abigail Breslin est encore une fois extraordinaire, cette gamine est fantastique. Scott Hicks fait vraiment des films qui me parlent.
  • Vous allez rencontrer un bel et sombre inconnu (2010) : Papatte J’ai trouvé le film creux et peu original, ni drôle, ni franchement amer ou cynique. Le film ne fait que constater les choses. Il s’agit de sujets déjà traités par d’autres et mieux. Les acteurs étaient pourtant impeccables dans leurs rôles, y compris Naomi Watts dont je trouve les talents surestimés la plupart du temps.
  • Iron Man 2 (2010) : Papatte J’avais gardé un bon souvenir du un. Là c’est en dessous malgré la surenchère. Ça n’est pas la catastrophe annoncée par certains mais ça n’est pas le film de l’année non plus. Quelques bonnes scènes d’action à sauver. Je suis fan de Robert Downey Jr depuis Chaplin de toute façon, son nom au générique me suffisait amplement.
  • X-Men Origins: Wolverine (2009) : Papatte Encore un film dont j’ai la sensation de n’avoir entendu que du mal à sa sortie alors que franchement je l’ai trouvé très digeste, dans la lignée des X-Men et suffisamment court passer un bon moment sans s’ennuyer. Il semble y avoir tant à dire sur le personnage de Wolverine que la perspective d’un second opus me plait bien.
  • Salt (2010) : Papatte Angelina Jolie en tueuse au regard de glace : j’aime. Le rôle lui va à merveille. L’histoire est assez prévisible d’un côté, moins de l’autre. Certaines scènes d’action sont spectaculaires et il n’y a pas de temps mort. En tout cas l’ensemble m’a plus que convaincue.

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