mardi 16 Jan 2007

Films vus 33

Avis en 24 images/s
  • The Lake House : papatte Comédie romantique gentillette et bien faite. J’ai vu mieux mais je n’ai pas vu le temps passer non plus.
  • Emmett’s Mark papatte : Très moyen mais ça m’a fait réaliser que je n’ai jamais prêté assez attention à la filmo de Tim Roth. Son interprétation pas grandiose -le scénario ne le permet pas- mais quelques crans au dessus des autres acteurs est sans doute la seule chose que je retiendrai de ce film.
  • Conversations with Other Women papatte : Une histoire simple mais dont je ne dirai rien parce qu’il faut laisser le film se dévoiler de lui-même. C’est très bien joué et extrêmement bien écrit. J’aime de plus en plus Aaron Eckhart. Remarque : on se fait vite au splitage permanent de l’écran en 2. Allergique aux chansons de Carla Bruni : s’abtenir faire un effort.
  • Little Miss Sunshine papatte : Beau film qui fait du bien. Il ne s’agit pas d’une bête comédie familiale où tout va mal au début et où à la fin tout le monde il est content, tout le monde il est beau. Le film est rated R, ça n’est pas pour rien. C’est drôle et touchant bien sûr mais aussi particulièrement acide par moment. Je découvre au passage Steve Carell.
  • Miss Congeniality papatte : Je crois qu’il faut aimer Sandra Bullock pour apprécier ce film. Ça tombe bien, j’aime bien Sandra Bullock et la voir rire comme un cochon me fait rire aussi (oui, j’assume). Dans l’ensemble, c’est pas trop mal fichu : il y a un scénario, pas mal d’humour, de l’action, de l’amuuuur. Il y a aussi des lourdeurs et des longueurs. Le film aurait gagné à être un peu plus court.
  • A Dirty Shame papatte : du gras : du vrai, du lourd. Absurde et décomplexé au possible mais qu’est ce que j’ai ri. Une bonne contre-partie à Jesus Camp :O)
  • Miss Congeniality 2: Armed & Fabulous papatte : bien moins bon que le 1. Sandra Bullock ne rit plus comme un cochon, ne se casse plus la gueule tous les 3 mètres et ne mange plus comme un goret. Sinon le reste c’est comme le 1, l’amuuur en moins.
  • Descent papatte : copie du pauvre de the Core avec Luke Perry. J’avoue avoir regardé du quart de l’oeil ce qui est déjà beaucoup. Ça n’est pas même pas du niveau d’un téléfilm M6.
  • The 40 Year Old Virgin papatte : Avec Steve Carell donc. Plutôt une très bonne surprise. Ça aurait pu être un summum du gras mais c’est heureusement beaucoup plus fin que ça n’en à l’air. La scène de l’épilation est mémorable surtout quand on sait qu’elle est réalisée sans trucage…

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