Diwouidi 11

  • Girl with a Pearl Earring : Papatte Le film est visuellement superbe. Chaque plan est comme une peinture avec une composition et des choix de couleurs très travaillés. Un vrai régal pour les yeux. L’histoire aurait pu ne pas être passionnante vu le sujet, mais finalement le tout est assez envoutant et le temps passe très très vite.
  • Les fils du vent : Papatte Les seuls atouts de ce film sont quelques filtres piqués à Caro-Jeunet pour soigner un peu l’image, la nana (on ne peut décemment pas utiliser le terme acteur pour ce film) mignonne et surtout sa durée qui, heureusement, n’excède pas 90 minutes (+ 1). De toute façon, au bout de 10 minutes, le cerveau était déjà parti en sucette et mes yeux ne sauraient produire assez de larmes pour exprimer tout le désespoir ressenti devant un spectacle aussi affligeant. Et dire qu’ils s’y sont mis à 4 (oui 4 !!!) pour accoucher de dialogues aussi niais. Terrifiant ! (- 0,5)
  • The Wisdom of Crocodiles : Papatte Aïaïe ma tête ! J’ai dû complètement rater le propos du réalisateur. Pas du tout convaincue par ce renouveau du mythe du vampire. Mais alors pas dutoudutou. Dommage parce que Elina Löwensohn est sacrément charmante.
  • American Psycho : Papatte Précision qui a son importance : j’ai lu le livre d’Easton Ellis il y a 6 ans environ. Tout d’abord parce que, pendant longtemps, je n’ai pas voulu entendre parler de ce film sachant qu’il ne pourrait pas être à la hauteur du livre. Ensuite parce que même s’il l’avait été, je n’avais pas envie de revoir les images que mon esprit a créées lors de la lecture. Et j’ai craqué. Le film s’avère finalement être une très bonne comédie satirique (si, si, j’ai beaucoup ri). L’avantage certain, c’est que comme le film a dû édulcorer largement l’histoire pour la rendre filmable et surtout visible (à moins de vouloir créer une nouvelle catégorie au-delà du interdit au moins de 18 ans), la critique me paraît soudain beaucoup plus claire. Les passages musicaux très nombreux ont peut-être plus de sens pour ceux qui ont lu le livre avant et sont nettement plus digestes quand on a le son avec le texte. C’était un film à se brûler les ailes et Bale en sort grandi. Pas de regrets donc.
  • Don’t Say a Word : Papatte Ça commence bien, ça se finit de manière très convenue. Sur le coup, même l’épisode 5 de Dolmen (une grande référence française où on voit vaguement de loin les seins d’Ingrid Chauvin… ouais moi aussi je peux le faire) grille Don’t Say a Word niveau grosse surprise à laquelle je ne m’attendais pas du tout. Toujours un plaisir de voir Sean Bean dans un rôle de méchant cela dit, ça lui va si bien. Brittany Murphy n’est pas mal non plus.
  • Hope Springs : Papatte Pas terrible pour une comédie romantique, le palpitant est resté bien calme. Quelques passages drôles, mais un scénario pas terrible du tout dans l’ensemble. A oublier sauf si vous êtes un(e) fan inconditionnel(le) de Colin Firth qui est ici bien moins bon que dans Love Actually.
  • Agents Secrets : Papatte Regardez plutôt Les Patriotes

2 commentaires pour “Diwouidi 11

  1. LOL Oui oui je sais je sais… je ne me souvenais plus… Bref, ce film (Girl With A Pearl Earing) est magnifique. Je ne sais pas si tu as vu les bonus mais ils ont reconstruit toute la maison de Vermeer dans un immense studios et puis les ‘shutters’ des fenetres ont posé des problemes… enfin bref, les bonus sont superbes et tres intéressants par contre c’est le 1er film que je vois ou TOUTES les scenes coupées sont nulles. D’habitude j’en vois toujours une ou deux qu’ils auraient pu mettre dans le film…
    Merci du conseil Didi !

  2. Contente que tu aies aimé aussi 🙂 Pas vu les bonus, il ne faut pas trop en demander aux DVD locaux par contre j’ai lu les trivias sur imdb et c’est vrai qu’à plusieurs reprises j’ai pensé à Venise…

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