Films vus 48

  • Music and Lyrics : Papatte Une excellente surprise qui m’a mis de bien bonne humeur. J’ai chanté Pop ! Goes my heart pendant une semaine. Je ne me roule pas par terre chaque fois que je vois Hugh Grant mais c’est un acteur que j’aime bien et là il est au mieux de sa forme et de sa voix. Je ne suis pas plus fan de Drew Barrymore mais voilà avec un bon petit scénario sans prétention et surtout un très bon compositeurs, on obtient une comédie romantique réussie, un peu décalée et rigolote comme il faut. Mention spéciale à l’ersatz de Britney Spears, pas piquée des hannetons. Om Shanti, Shanti !
  • Iron Man : Papatte Ma raison première de voir ce film était Robert Downey Jr. Acteur extraordinaire quand il n’a pas le nez dans la poudre (Qui ne l’avait pas détesté pour s’être fait virer d’Ally McBeal à cause de ça alors qu’il était l’homme parfait pour Ally ?) Mais au-delà de l’acteur, il y a un film sacrément efficace qu’on ne voit pas pour la profondeur de son scénario mais pour ses effets spéciaux qui en mettent plein la vue. N’ayant pas lu le comics, j’y allais sans rien en attendre, alors là aussi la surprise a été plus que bonne.
  • The Oxford Murders : Papatte Prenons 2 bons acteurs : Elijah Wood (condamné aux rôles d’étudiants de passage quand il veut tourner en Grande Bretagne) et John Hurt. Plongeons les deux dans une enquête qui sent bon Agatha Christie et surtout n’oublions pas de mettre Álex de la Iglesia derrière la caméra. Honnêtement sans le dernier ingrédient, je pense que le film aurait eu moins d’intérêt mais le réalisateur a un œil et sait créer une ambiance qui fait que ses films ont vraiment du style. Après, je ne sais pas si j’ai juste le sens de l’observation ou si les indices étaient vraiment visibles pour tout le monde (je penche pour la deuxième option) mais j’ai eu l’impression d’avoir beaucoup d’avance sur les protagonistes par moment. Et n’ayez pas peur de la bande-annonce qui vend ça comme un film qui demande des connaissances poussées en maths et en suites… il faut juste avoir de la logique.
  • The Bank Job : Papatte Encore un film surprenant avec Jason Statham où on ne lui demande pas de coller des pains à tout le monde. Le bonhomme montre à nouveau qu’il sait jouer, surtout quand le scénario est à la hauteur. L’histoire du braquage de banque est déjà vue et revue (vous savez le coup de creuser en-dessous depuis la boutique voisine) ; par contre ce qui se passe après donne vraiment le ton au film qui partait plutôt bon enfant et tourne rapidement au vinaigre. Très réussi.
  • Black Sheep : Papatte Énorme ! Excellentissime ! C’est tellement débile par moment qu’il est impossible de ne pas rire. Difficile de regarder un mouton comme avant après avoir vu ce petit chef d’œuvre d’horreur complétement décalé. Difficile aussi de ne pas penser à Peter Jackson, ses Feebles et autres Brain Dead mais c’est pour le meilleur donc tout va bien. Les acteurs ne sont peut-être pas tous bons mais on s’en fiche, ce sont les moutons qui comptent. Bééééééééééééé !
  • Indiana Jones and the Kingdom of the Crystal Skull : Papatte Autant j’ai grandement apprécié de retrouver l’ambiance des précédents opus, autant j’ai eu du mal avec la finalité du scénario. Ça partait si bien, je replongeais en enfance, Marion Ravenhood faisait battre mon petit palpitant de bonheur (L’Arche Perdue est mon préféré), Shia LaBeouf était bien plus convaincant que dans Transformers et on n’aurait pas cru qu’il s’était écoulé 19 ans depuis La Dernière Croisade (que j’avais vu en salle à l’époque) mais vraiment la fin est un tue-l’amour. D’un côté, je reconnais que le film est complétement cohérent avec lui-même : Area 51, Roswell et compagnie, ça crée un tout qui en lui-même fonctionne sauf quand on a le syndrome X-Files. On verra avec le temps s’il vieillit bien mais pour le moment je suis un peu déçue quand même.
  • Cassandra’s Dream : Papatte Une grande tragédie pour laquelle j’ai eu beau imaginer tous les scénarios tordus, possibles et inimaginables et je me suis quand même fait avoir par la fin. De ce point de vue là, le film est une grande réussite. La sublime musique de Philip Glass accompagnant ce drame de manière magistrale lui donne encore plus de profondeur. Dommage que Colin Farrell ne soit pas très bon, surtout en comparaison avec Ewan McGregor.
  • Mrs Henderson Presents : Papatte Après Notes on a Scandal, c’est très étrange de voir Judy Dench aussi pétillante et insouciante. Je commence à avoir un gros faible pour les vieilles actrices britanniques. Le film oscille entre comédie et drame sur fond de deuxième guerre mondiale. C’est drôle et touchant à la fois. Léger avec un poids invisible sur les épaules. Ça a un charme typiquement anglais et c’est du Stephen Frears, ceci expliquant cela.

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