Films vus 47

  • P.S. I Love You : Papatte Comme le livre. Une histoire romantique qui est plombée par la présence d’un mort tout du long. C’est tout le problème d’avoir réussi à bien intégrer l’histoire d’amour passée avec le défunt dans la nouvelle romance. C’est passablement déprimant et je doute que ça soit l’effet attendu. Il y a quelques passages drôles et Hillary Swank est plutôt convaincante mais j’ai vu tellement mieux et plus joyeux.
  • Diary of the Dead : Papatte 1) à la base, je n’aime pas les films de zombie, je trouve ça naze. 2) encore un film avec des gens qui filment leur vie alors que tout va mal. Sauf qu’en période d’abus de cette façon de filmer (cf Cloverfield et [Rec]), Romero décide de coller un grand coup de pied dans le fondement de tout le monde. Chez lui aussi les gens se filment et filment l’horreur autour d’eux, sans lâcher la caméra, le téléphone mobile voire même récupérant de nouvelles caméras en cours de route. De la surenchère pour rentre le phénomène encore plus ridicule et ça marche. On en oublierait presque qu’il y a un zombie qui tape à la porte depuis 90 minutes…
  • Anamorph : Papatte Jeu de piste plutôt bien fichu pour attraper un serial-killer qui mélange art et meurtre de manière originale. Je n’ai pas encore réussi à me décider s’il y avait plus à voir dans l’histoire que ce qui est montré à l’écran. Ça me paraitrait un peu prétentieux d’espérer que tous les spectateurs saisissent le fond de l’histoire sans plus d’indices mais d’un autre côté c’est vrai que l’idée m’a effleurée à plusieurs reprises pendant le film. Le hic c’est que rien n’est clairement confirmé. D’un autre côté, ça ne changerait pas la note donc…
  • Doomsday : Papatte Par moment, j’ai honnêtement cru que Uwe Boll était responsable du scénario et ça n’est pas un compliment. Sauf qu’il y a un sacré fossé entre Neil Marshall et Uwe Boll, l’un sachant réaliser un film, l’autre… euh…s’étant perdu à Hollywood apparemment, quelqu’un lui ayant malencontreusement confié une caméra. A regarder pour le très très grand plaisir de voir Rhona « Snake Plissken » Mitra coller des pains à une bandes de punks en folie. C’est plus ambiance Dog Soldiers que The Descent, en plus déjanté. Ne surtout pas oublier de mettre les neurones en pause en début de séance.
  • An American Crime : Papatte Histoire inconnue au bataillon mais visiblement ça avait marqué l’Amérique des années 60/70. Ellen Page étant bien-sûr la raison pour laquelle je l’ai regardé et pas une quelconque ressemblance avec une affaire en cours en Autriche. Voir ce vent de folie de violence saisir les gens au fur et à mesure sans que personne ne lève le petit doigt met assez mal à l’aise. Pire encore est de découvrir après que la réalité est bien au-delà de la fiction.
  • A Cock and Bull Story : Papatte Pour vraiment apprécier ce film, il me manque 2 choses assez essentielles. Lire The Life and Opinions of Tristram Shandy, Gentleman, réputé inadaptable et me renseigner sur Steeve Coogan qui est visiblement une célébrité comique outre-Manche dont je n’avais jamais remarqué le nom avant. Pour le reste, le film a un gros côté Looking for Richard avec les acteurs qui discutent de la manière d’adapter l’œuvre, les personnages mais avec beaucoup plus d’humour et beaucoup plus scénarisé. En passant, je pense que le film détient le record du plus long accouchement filmé.
  • Nim’s Island : Papatte Sympathique. C’est agréable de voir Jodie Foster dans un rôle comique et encore plus de voir que Abigail Breslin respire toujours l’innocence là où une Dakota Fanning a déjà complétement dépassée la date de péremption. Niveau scénario, c’est sans réelle surprise mais j’ai passé un bon moment et j’ai surtout beaucoup ri notamment au moment du catapultage des lézards.
  • Vantage Point : Papatte Le film est basé sur le concept suivant : Un événement / 8 témoins / 8 histoires. Sur le papier ça parait alléchant, en réalité au bout de 4 versions, ça commence à lasser. Du coup quand la narration reprend une forme plus conventionnelle dans la dernière demie-heure, le film reprend un coup de fouet. Bien-sûr quand on a vu Snake Eyes dont beaucoup de ficelles sont réutilisées ici, ça gâche quelques petites surprises du scénario. Dommage aussi qu’il y ait de grosses inconsistances dans l’histoire, on a vraiment l’impression qu’on évolue en vase clos et que tout le monde est toujours ramené au même point dans la ville.

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