Films vus 34

  • This Film Is Not Yet Rated : Papatte Très très bon documentaire sur la commission de classification cinématographique américaine dite MPAA. Ça m’a beaucoup fait penser à The Celluloid Closet où l’on trouvait déjà le sieur Will H. Hays.
  • Wah-Wah : Papatte Beau film autobiographique. Quelques longueurs mais une relation père-fils très touchante. Très mélancolique aussi.
  • Evolution : Papatte Ok sans plus. Les effets spéciaux sont soignés, la réalisation aussi. Le scénario est basique mais suffisament efficace. Il manque néanmoins un petit quelque chose côté gag qui aurait pu faire plus mouche.
  • The Last Kiss : Papatte Bonne surprise. Je m’attendais à un film un peu gniangnian à la Garden State mais malgré le stéréotypage des personnages, l’analyse des différents couples et leur évolution à travers l’histoire est plutôt bien vue et réaliste.
  • Trust the Man : Papatte encore des histoires de couples. D’ailleurs, ça n’était pas une bonne idée de regarder celui-là peu de temps après The Last Kiss. Ça parait tellement plat et convenu en comparaison que j’ai eu du mal à ne pas m’intéresser à autre chose dans la pièce. Et promis, je n’ai pas fait non plus exprès de choisir un film où il y a encore David Duchovny et Julianne Moore.
  • RRRrrrr!!! : Papatte « -Tu vas payer salope ! » « -Ah non c’est moi qui invite ». C’est à peu près la seule chose qui m’a fait rire. Pour le reste… comment dire… non. Mais il y avait des efforts de fait sur le scénar, je le reconnais.
  • A Sound of Thunder : Papatte Le réalisateur a découvert le fond bleu et s’est dit que c’était cool. Ne pas savoir faire de l’incrustation sur fond bleu et avoir des effets spéciaux qui puent, ça par contre c’est moins cool. Surtout pour le téléspectateur qui doit subir tout ça.
  • Crank : Papatte Il y a quelque chose d’Uwe Boll dans ce film. Genre un réalisateur qui s’est dit qu’il allait mettre à l’écran ses plus gros fantasmes : b***** au milieu d’une foule en délire, mettre des nanas à moitié à poil dans des bulles géantes, s’injecter du ribobitan en intraveineuse et se battre contre tous les méchants mafieux du monde. Bref ça vole pas haut mais contrairement à Uwe Boll, Truc (non je ne ferai pas l’effort, on verra au prochain film) sait tenir une caméra et à des idées de montage plutôt sympathoches (il y a 10 ans, on aurait qualifié ça de « montage MTV »). Niveau rythme pour un film sous adrénaline, c’est pas encore ça non plus.
  • « David Nolande » : Papatte J’en avais beaucoup entendu parler. J’ai voulu voir. Je n’ai pas été déçue voire même je suis accro, je veux la suite.
  • « Clara Sheller » : Papatte Deuxième série France 2 qui a fait suffisamment de bruits pour m’atteindre. Dans un style complètement différent de David Nolande mais tellement hors des sentiers battus aussi pour une production télévisée française. C’est très frais, ça se permet plein de trucs que les autres séries françaises n’osent pas et c’est tellement bourré de petites phrases rondement tournées que ça donnerait presque envie de se refaire une deuxième session et de noter tout ça au passage. Pareil, j’attends la suite.
  • Perfume: The Story of a Murderer : Papatte Je n’ai pas lu le livre (mais maintenant j’en ai envie) du coup je ne sais pas quelles étaient les intentions de l’auteur à l’origine mais ici j’y vois une sublime plongée dans la tête d’un tueur avec une fin représentant symboliquement l’apogée de son fantasme (apparemment il y a débat sur l’interprétation à donner à la fin. C’est ma façon de voir les choses). Niveau réalisation, comme il est difficile de réaliser un film sur les odeurs sans version en odorama, il a fallu avoir recours à d’autres solutions. Mouvements de camera qui glisse dans les airs, ambiance cotoneuse, profondes inspirations des acteurs et frétillements des narines mais aussi amoncellement violent de têtes et entrailles de poisson dans le caniveau (ce film ne sent pas que bon). Ça marche à merveilles. Plus une histoire très prenante, plus la reconstitution de Paris, plus de très belles rousses. Sans doute le meilleur film de cette selection.
  • Les Amants criminels : Papatte On va dire « oeuvre de jeunesse » et « très français ». Je n’ai pas aimé le jeu des acteurs, l’histoire à la Hansel et Gretel à la rigueur mais le lapin, ça non je ne peux pas.

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