Derniers films vus 95

  • Evil Dead (2013) : Papatte J’aime beaucoup Jane Levy, ce fut donc en partie un plaisir de la retrouver ailleurs que dans une banlieue chic. Pour le reste, il s’agit d’un film gore avec beaucoup de sang et de douleur, mais sans grandes surprises ; tout juste bon pour parier entre ami(e)s sur qui mourra comment et qui survivra. Il faut mieux débrancher quelques fils de votre cerveau avant de commencer, le scénario n’est pas un summum de la cohérence.
  • Zonbi asu (2011) : Papatte Avis complet ici.
  • Les garçons et Guillaume, à table ! (2013) : Papatte Il faut donc s’appeler Guillaume Gallienne pour m’attirer dans une salle de cinéma pour voir une œuvre française. J’ai adoré ce film qui respire l’intelligence par tous les pores de la pellicule. Il se permet de prendre le spectateur à contre-pied et propose une conclusion particulièrement belle et tellement apaisante par les temps qui courent. Je suis rarement touchée par la poésie, mais cette scène où Guillaume parle du souffle des femmes est somptueuse. Une déclaration d’amour aux femmes incroyable. Ça fait du bien de passer du rire aux larmes et de sentir une salle vibrer. Inutile de préciser que l’impression qu’il m’a laissée est encore très très présente.
  • First Blood (1982) : Papatte Il s’agit donc de Rambo. Et non, je n’avais jamais vu le premier du nom. C’est intéressant de le découvrir de nos jours et de se dire qu’avant, les films d’action destinés à un large public pouvaient servir à faire passer des messages assez critiques sur l’état de la société américaine. Les scénaristes d’aujourd’hui pourraient peut-être s’en inspirer.
  • Idle Hands (1999) : Papatte Encore un exemple de films qui marquent nos jeunes années et restent une cabane dans les arbres quand on grandit. Comme les Goonies. En l’occurrence, pour moi, il s’agissait d’une découverte donc aucun sentiment de nostalgie n’y est rattaché. Le concept de base bien barge est plutôt amusant et le film reste dans le ton jusqu’au bout. Je n’y reviendrai sans doute pas, mais il est à voir au moins une fois.
  • The Hunger Games: Catching Fire (2013) : Papatte Je n’ai toujours pas lu les livres, et j’ai sacrément préféré au premier. L’histoire d’amour ne sert toujours à rien, je ne sais même pas pourquoi ils insistent. Tout le reste (contexte politique, révolte…) donne vraiment envie de voir la suite, même si cette mode de couper l’adaptation du dernier tome d’une courte série en 2 devient une logique commerciale particulièrement énervante.
  • Inside Llewyn Davis (2013) : Papatte C’est impeccablement réalisé, les chats sont très bien, mais le fait que le héros n’évolue pas et n’aille nulle part fait perdre son âme au film. C’est vraiment dommage, j’aurais voulu l’aimer.
  • Space Pirate Captain Harlock (2013) : Papatte Très agréable surprise. Le scénario emprunte plein d’éléments à la SF voire à la hard-SF, ce qui lui donne une profondeur à laquelle je ne m’attendais pas du tout. L’histoire, même si elle part encore dans une direction différente du reste (manga, séries, films), est à la fois prévisible et plaisante. L’un dans l’autre, cette nouvelle version s’en sort plutôt bien. Il aurait fallu que le montage suive un peu mieux par contre. Et enfin, le fanservice, c’est mieux quand ça n’est pas trop insistant…Là, c’était à la frontière du ridicule.
  • Planet of the Apes (1968) : Papatte A l’image de Soleil Vert, c’est un vieux film qui véhicule un message intéressant offrant matière à réflexion. Là aussi, il vaut mieux ne pas connaître la fin (Mais qui n’a jamais vu l’image finale de La Planète des singes ?). Cette séance de rattrapage nécessaire m’a donné envie de voir les suites. Pas forcément de voir les nouveaux films par contre, qui semblent plus orientés action au vu des bandes-annonces.
  • Pitch Perfect (2012) : Papatte Je ne serais sans doute jamais tombée sur ce film si je n’avais pas développé une obsession pour Cup Song. Le film n’est pas mauvais en plus, il reste totalement prévisible, mais c’est finalement ce côté prévisible qui le rend sympathique. Il se moque doucement de Glee, tout en utilisant la même recette, les reprises fonctionnent, les actrices sont bien. Le petit bémol, c’est que l’histoire d’amour ne fonctionne pas. Dans la mesure où je n’en attendais rien, ça reste néanmoins une bonne surprise.

Articles similaires

Commencez à saisir votre recherche ci-dessus et pressez Entrée pour rechercher. ESC pour annuler.

Retour en haut