Diwouidi Ouite

  • The Last Samurai : Papatte J’avais hâte de le voir depuis un moment celui-là, mais il était dans la pile commune de DVD, ce qui veut dire qu’il faut que Tortue ait envie de le voir en même temps que moi pour qu’on le regarde. C’est donc chose faite et je n’ai pas aimé. Tout est beau y compris Tom, mais l’histoire : pitié ! Ça sent le film destiné à un public américain à 90% (10% d’universalité du Tom) avec des ficelles mélodramatiques de la taille d’un bout. En passant, on remarquera qu’il y a un côté très Hidalgo dans les traumatismes de l’ami Tom. Toujours en passant, on notera que la dianètique rend le Tom à l’épreuve des balles. Comme Tortue était trop mortifié de honte par mon jeu de mot final, je le mets ici. Extrait de la conversation. Tortue : « Il rentre à la terre, Tom ? » Tanuki : « La Tom de terre ! ». Je vous laisse méditer là-dessus. Nous, au moins, on aura bien ri pendant le générique.
  • 28 Days Later : Papatte Décidément, ce n’était pas la bonne semaine pour regarder les films que j’avais envie de voir depuis longtemps. Je m’attendais à avoir vraiment peur de chez peur. On m’a dit « film de zombies très réussi » un jour et moi zombies, ça me fait penser à Resident Evil (le jeu), et Resident Evil, ça fait vraiment peur. Bon, le film a d’autres qualités dont celle de nous montrer qu’on peut faire croire à un Londres complètement vide en jonglant avec les autorisations de tournage. Puis, il y a Christopher Eccleston, c’est déjà pas si mal.
  • Team America : Papatte Ce n’est pas une totale réussite, mais ça reste assez divertissant et il y a quelques scènes franchement drôles. Je me suis fait la même réflexion qu’après avoir vu South Park le film : parfois, c’est trop gras pour moi. Tortue s’est endormi au milieu quand même et a raté la scène hot (extended version en plus) du film. Je ne suis pas sûre que le film laisse une trace indélébile dans mon esprit cependant, même avec Michael Moore plein de jambon.
  • Ghost Ship : Papatte Pas si mal. Je m’attendais à bien pire. Finalement, c’est un film d’horreur honnête bien que très moyen, plutôt bien fait. On met au jour un peu trop facilement certaines ficelles du scénario et on se doute bien de qui va survivre au massacre dès le début, mais ça se laisse regarder. Par contre, il est exaspérant d’entendre les personnages répéter sans cesse qu’il faut quitter le bateau tout de suite là maintenant même quand il n’y a plus trop moyen de le faire.
  • The Company : Papatte Allergiques à la danse, s’abstenir ou alors c’est que, comme moi, vous aimez vraiment beaucoup Neve. Je ne sais pas trop quoi en penser. J’ai trouvé ça plaisant à regarder, mais jamais passionnant. Enfin, ceci dit, ce n’était sans doute pas le but du film. La seule réflexion que j’ai réussie à formuler est celle que je rattache à la dernière scène où, après avoir assistée à un ballet créé par un soi-disant génie de la chorégraphie, l’audience se lève et applaudit à tout rompre, époustouflée par tant de beauté dans la forme et dans le fond et où je me suis dit que, vu le ridicule du ballet, c’était une belle façon de se moquer des gens qui crient au génie parce qu’un mec à le vent en poupe et que tout ce qu’il peut pondre artistiquement ne peut être que génial. Sinon, effectivement, il y a quelques ballets plutôt sympathiques même si j’ai parfois du mal avec la danse moderne.
  • Bride & Prejudice : Papatte Il m’aura fallu 2 tentatives pour arriver à dépasser les 10 premières minutes. Un peu de mal à rentrer dedans. Le regard fixe et inexpressif au possible de Martin Henderson m’a énervé dès le début. Le découpage du film et la succession dans le temps des événements m’a un peu déstabilisée. J’ai trouvé ça un peu trop brutal. Je préfère les effets de transitions plus « travaillés ». Côté acteurs, Naveen Andrews est surprenant, Indira Varma est excellente dans son rôle de snob tête à claques de la haute, surtout quand on l’a vue dans Kama Sutra. L’acteur qui joue l’indien qui a fait fortune aux USA a le même rire que quelqu’un dans cette maison (La chance !). Résultat, je regarderais bien une adaptation plus fidèle de l’œuvre de Jane Austen maintenant.
  • The Forgotten : Papatte Mouais bof. Je crois que depuis X-Files, j’ai de plus en plus de mal à adhérer aux films parlant d’extra-terrestres, d’enlèvements, de conspiration, etc. Déjà pour les 4400, j’ai eu du mal. Je suis loin d’avoir été convaincue par la prestation de Julianne Moore (recrutée pour ses capacités de marathonienne je suppose) ou alors c’est que le scénario est trop larmoyant pour moi. Dommage parce que le début était plutôt bien fichu, mais à partir du moment où on sait qu’elle n’est pas folle, ça devient bien moins intéressant. En plus, il n’y avait pas la fin alternative sur notre DVD et apparemment c’est cette version-là qu’il fallait voir.

3 commentaires pour “Diwouidi Ouite

  1. ah bah y a pus les notes??
    sinon j’ai été également déçu par The last samurai : c’est comme le Da vinci code, y a pas de quoi en faire tout un foin…

Les commentaires sont fermés.

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