Films vus 64

  • Black Hawk Down (2001) : Papatte Pas mal de scènes particulièrement intenses mais trop ciblé pour un public américain.
  • JCVD (2008) : Papatte C’est original et une très bonne surprise. JCVD comme on ne l’a pas souvent vu, triste et dramatique qui sait se jouer de son image de looser à la philosophie si particulière.
  • Whatever Works (2009) : Papatte Énorme coup de cœur pour les deux acteurs principaux : Evan Rachel Wood méconnaissable et Larry David (comme je n’ai jamais vu Seinfeld, je ne connaissais que de vue mais j’essaye de me rattraper avec Curb your enthusiasm). Irrésistiblement drôle, cynique et ultimement désinhibé. J’ai presque hâte d’avoir l’occasion de le revoir en fait. Par contre, première fois que je remarque des soucis de traduction dans les sous-titres.
  • Virtuality (2009) (TV) : Papatte Il s’agit du pilote de la plus que probablement future série avortée de Ronald D Moore (BSG). Réalisé par Peter Berg (The Kingdom, Hancock) avec un casting qui comportait quelques noms sympathiques (Nikolaj Coster-Waldau, Clea DuVall), Virtuality prenait vraiment son envol dans sa conclusion qui laissait deviner qu’il y avait plus à voir que ce qui apparaissait à l’écran (il y a quelques théories intéressantes dans les forums d’imdb à ce sujet). Pour ce qui est du pilote en lui-même, l’idée est intéressante mais ça souffre globalement de pas mal de longueurs. Puis la FOX n’était pas la bonne chaine à qui proposer ce genre de projet même s’ils ont plein d’argent, si ça ne leur en rapporte pas 15 fois plus, c’est poubelle. Autant dire que c’était mort d’avance.
  • Duplicity (2009) : Papatte Ce film est du sirop d’érable pour moi. Julia Roberts et Clive Owen ensemble, c’est le pied total ; c’était déjà le cas dans Closer et ça marche aussi quand ils font dans la comédie. Le scénario et le montage sont futés et la fin savoureuse.
  • Up (2009) : Papatte Un film qui fait sortir les mouchoirs dans les 5 premières minutes est une vacherie. Et ça n’est pas en dégainant un boule de poils adorable et un oiseau multicolore à l’oeil stupide que je vais oublier ça !! J’aurais aimé donner un avis dithyrambique mais j’ai toujours un peu de mal quand on mélange sentiments (qui font mouche avec les adultes) et humour (qui s’adressent aux enfants en premier lieu). Ça me donne l’impression d’avoir le c** entre deux chaises et de ne pas savoir si j’ai aimé ni pourquoi j’ai aimé. Mais remarquez que j’ai aimé quand même. Saleté de boule de poils que j’en voudrais bien une comme ça à la maison.
  • Harry Potter and the Half-Blood Prince (2009) : Papatte Ma lecture du livre du même nom remonte à 2006. Entre temps, j’ai pu oublier les détails et donc profiter pleinement du film sans me soucier du petit truc qui manque là en haut à gauche derrière la statue. Après il vaut mieux avoir lu le livre pour tout comprendre quand même parce que je ne suis pas sûre que les 5 films précédents suffisent pour s’y retrouver. En tout cas, je n’ai pas vu passer les 2h30 du film. Plus : la fan de Snape et de Rickman que je suis était aux anges.
  • Det som ingen ved (2008) : Papatte Sans être aussi enthousiaste que Shubby, j’ai passé un bon moment. J’ai plutôt bien marché sur les scènes “à suspens” (notamment la scène dans les cabines et chez le “reporter” qu’on voit venir mais qui arrive à noyer le poisson en cours de route (sans trop en dire). Le tout bien construit et tout à fait réaliste. La fin on n’en parle même pas, on bouffe tellement de trucs à l’américaine que le cerveau est calibré pour les happy-ends alors que là c’est tout simplement réaliste et du coup bien dérangeant. (oui, je suis une larve, j’ai repris mon avis laissé sur les Givrés de la Bobine)
  • City of Ember (2008) : Papatte Raah il manque un petit quelque chose pour que ce film deviennent un très bon film. Ça n’est certainement pas le monde d’Ember qui pose problème (et que je soupçonne d’être encore mieux dans le livre d’origine) mais à mon avis surtout l’absence de surprises de certaines scènes. On sait où ça va mais il y avait sans doute moyen de relever le niveau de certaines scènes, de courber la linéarité et de rajouter encore plus de moments magiques. Vraiment dommage parce que le casting est bon, surtout ma nouvelle chouchoute : Saoirse Ronan (on dirait Sylvie Testud en plus jeune).
  • Stardust (2007) : Papatte Encore une adaptation de la littérature enfantine. Les premières minutes sont sublimes et malgré mes gros doutes quant au choix de Claire Danes dans le rôle de l’étoile, j’ai marché à fond dans l’histoire. C’est autrement plus digeste que le pompeux Narnia.
  • The Secret of Moonacre (2008) : Papatte Mal réalisé, assez souvent mal joué d’une manière générale. Les personnages ne sont pas attachants et l’histoire malmenée. A éviter. Mais il y avait de l’idée.
  • Easy Virtue (2008) : Papatte Je ne comprends pas pourquoi le film a des notes si moyennes un peu partout. On y retrouve le charme guindé de la bourgeoisie anglaise des Agatha Christie dont personnellement je suis fan. C’est terriblement drôle, Jessica Biel fait une nouvelle fois sensation dans le rôle de la sémillante américaine qui fait tache au milieu des anglais. Elle est parfaite. Malgré un final mi-figue mi-raisin (pas au sens raté, mais rapport à l’ambiance que ça instaure), si on joue le jeu, ce film donne vraiment un vif sentiment de satisfaction.

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