Films vus 63

  • Push (2009) : papatte Agréable surprise surtout au niveau de la réalisation plutôt inattendue. Il ne faut surtout pas s’attendre à un film d’action pur et dur avec des super-héros sous peine d’avoir une grosse déception. C’est plus subtil et mieux vu même si ça m’a laissé la sensation de manquer de quelque chose. Chose rare, j’ai beaucoup apprécié la prestation de Dakota Fanning. Elle vieillit plutôt bien pour une enfant star et m’a donné envie de voir ce qu’elle fera dans l’avenir. Marrant aussi que tout le film se passe à HK (enfin je ne le savais pas avant de le voir), ça donne un petit côté familier au film.
  • Feast 3: The Happy Finish (2009) (V) : papatte Suite directe de Feast 2 avec grosso modo les mêmes persos. Plus gore, moins drôle, toujours le mauvais gout assumé. Les points positifs c’est Jean-Claude Segal et Tat Girl. La pire mauvaise idée du film c’est sans aucun doute les effets stroboscopiques sortis de nulle part qui filent un beau mal de tête et rendent THE scène du film complètement brouillonne (pas que le reste le soit moins cela-dit). Arrêtez vous au 1 qui est largement suffisant et réussi (pour autant qu’on ait l’humour gras), ça vaudra mieux pour votre cerveau.
  • Fast & Furious (2009) : papatte ie le 4. Pas trop mal mais il m’a paru incroyablement long alors qu’il ne fait que 96 minutes. J’ai l’impression d’y avoir passé plus de 2h. Puis pas assez de Michelle à mon goût. Le dommage collatéral c’est qu’il m’a donné une furieuse envie de rejouer rapidement à Burn Out Revenge et d’aligner les takedowns.
  • State of Play (2009) : papatte Forcément je fais partie de la minorité qui a eu la chance de voir la série et de me rouler sur le tapis après parce que c’est une des meilleures séries que j’ai vues. Le passage au grand écran est réussi même si j’avais énormément d’appréhension. Russell Crowe : très bon choix. Rachel McAdams et Helen Mirren : choix plus qu’honnêtes. Ben Affligeant… comme son nom l’indique. Dans l’ensemble, ils sont quand même en dessous de l’équipe d’origine. Comme je ne peux pas m’empêcher de comparer, il faut rajouter que 6 épisodes d’une heure ça permet de construire une sacrée histoire et surtout un sacré suspens. Forcément en 2h, il y a pas mal de choses qui passent à la trappe et il faut se montrer plus efficace pour compacter des situations qui font monter la tension jusqu’à la fantastique scène finale. J’ai quand même passé un très très bon moment. La trame de l’histoire à la sauce américaine est bien trouvée.
  • Terminator Salvation (2009) : papatte Mieux que le 3 sans hésitation. Ça vaut vraiment le coup de le voir sur grand écran. Certaines scènes d’action sont spectaculaires (la scène de l’hélico donne le tournis). Puis toutes ces belles machines… Comme j’étais passée en mode igloo depuis que le film était en prod et promo, j’ai été surprise par le peu de temps à l’écran de Bale et encore plus surprise par Sam Worthington que je découvre et qui porte le film sur ses épaules. Peu importe les incohérences, j’ai eu ce que je voulais : un film d’action hautement efficace.
  • Män som hatar kvinnor/Millenium (2009) : papatte Toujours pas lu le livre, toujours pas vraiment envie de le lire (en tout cas pas tant qu’il ne sera pas en poche). J’ai trouvé le film honnête mais sans plus. Le début est un peu long et la partie Lisbeth encore plus (que je découvre enfin après en avoir beaucoup entendu parler et qui est une magnifique accumulation de clichés calibrée pour interpeller le psychisme féminin). Par contre, j’ai eu une révélation d’acteur en la personne de Nyqvist qui a une présence assez fantastique à l’écran. Une sorte de Stellan Skarsgård en moins ours. L’intrigue est bien fichue aussi. Mais alors ça ne donne vraiment pas envie d’aller en Suède, même le héros se pèle alors un Tanuki… Une petite remarque sur l’interdiction au moins de 12 ans… à HK, une scène de viol, ça qualifie directement le film en catIII c’est à dire interdit au moins de 18 ans. Et ça fait tiquer personne en France ?
  • Looking for Eric (2009) : papatte Un film que seul un anglais aurait pu réaliser. Ça faisait une éternité que je n’avais pas vu un Ken Loach (le dernier c’était Bread and Roses (2000)) et peut-être est-ce moi, mais j’ai trouvé celui-là fortement anxiogène quand ça touchait à l’histoire du gamin qui fait n’importe quoi de sa vie (et qui explique ma note aussi). Après, l’histoire du père qui occupe le plus de temps à l’écran est un sans faute. Le final est grandiose.

Diantre : que des films de 2009. C’est une première ça

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