Films vus 57

  • Twilight (2008/I) : Papatte Le film qui fait beaucoup de bruit pour pas grand chose. La réalisation est moyenne mais la photographie est jolie. Le montage fait définitivement trop jeune pour mes vieux yeux avec tous ces ralentis, ces effets vaporeux. L’histoire n’en parlons même pas. Ça m’a fait à peu près autant d’effet que le livre. C’est dire l’insipidité de la chose. Heureusement Kristen Stewart se révèle être un choix plutôt judicieux. Pattinson, par contre, c’est sans moi. Pas mon idéal masculin les minets. Finalement ce qu’il y a à sauver dans le film c’est définitivement la BO de Carter Burwell qui signe ici une très bonne partition.
  • Zack and Miri Make a Porno (2008) : Papatte Heureusement que Kevin Smith se refuse à jouer le jeu de la MPAA. Ce film est donc NC-17 et absolument génialissime. Drôle voire même hilarant, blindé de jeux de mots avec une méchante histoire d’amour qui fait sortir la larmichette du coin de l’oeil à la fin. Les 2 acteurs principaux sont tout simplement parfaits. Mais forcément c’est de l’humour ultra-gras et ça reste l’histoire du tournage d’un porno amateur donc pour public averti.
  • Nattevagten / Nightwatch (1994) : Papatte Je continue sur ma lancée de films nordiques qui inspirent les américains. Le film est un très bon thriller, court, efficace, pas vraiment surprenant sur la fin vu qu’on voit venir l’identité du tueur de très loin mais l’ambiance générale justifie à elle-seule que l’on visionne cette version plutôt que le remake américain avec McGregor. En passant, l’acteur principal est celui de New Amsterdam dont j’ai déjà parlé en ces pages. Curieusement le concours de bêtises entre les 2 protagonistes mâles m’a fait vraiment rire alors qu’au quotidien j’aurais trouvé ça parfaitement détestable.
  • Vampire Circus (1972) : Papatte Vu le nombre de fois où j’ai croisé une référence à ce film ces derniers temps, Vampire Circus a l’air de rester un monument du catalogue de la Hammer malgré le côté décrépi de l’ensemble. Ça joue quand même mal, les acteurs en font 3 tonnes, c’est fauché et c’est bourré d’inconsistances grosses comme le nez au milieu de la figure. Quelques points positifs : il y a des nanas à poil… et en plus les jeunes femmes sont de toute beauté… euh… la trame de l’histoire tient plutôt bien la route dans les grandes lignes et les scènes au cirque dégagent une certaine magie. Mais qu’est ce que ça a vieilli.
  • Wallace and Gromit in ‘A Matter of Loaf and Death’ (2008) : Papatte Un nouveau Wallace and Gromit c’est toujours un événement qui fait plaisir, surtout à Noël. Celui-ci est tout de même moins réussi que les précédents même s’il y a les habituels moments de génie qui font tout le charme des aventures de nos héros de pâte à modeler. Dommage que ça soit moins mystérieux et moins plein de suspens et trop court…
  • Eagle Eye (2008) : Papatte Du film d’action qui dépote tellement que le scénario tarabiscoté (ou capillotracté c’est selon) passe comme une lettre à la poste. Shia LaBeouf prouve une nouvelle fois qu’il vaut mieux que Transformer. Puis il y a Michelle Monaghan qui justifie le visionnage. 2 heure de grand spectacle à couper le souffle en tout cas.
  • Traitor (2008) : Papatte Vu sans savoir vraiment à quoi m’attendre et c’est une très bonne surprise. Immersion dans le monde du terrorisme avec un petit côté Le Fugitif. L’histoire est vraiment prenante, les acteurs impeccables. C’est toujours un plaisir de voir Saïd Taghmaoui. Peut-être un peu longuet par moment et prévisible sur la fin.
  • Mirrors (2008) : Papatte J’avoue, je ne savais pas qu’il s’agissait d’un remake d’un film asiatique mais j’ai eu de sérieux doutes par moment vu la qualité de l’histoire. Comme souvent ça ne fait pas peur mais le fond de l’histoire est un peu plus complexe qu’il n’y parait au premier abord ce qui est un plus. Quelque chose me dit que l’original doit être meilleur mais je ne suis pas assez intriguée pour me jeter dessus non plus.
  • Burn After Reading (2008) : Papatte Un Coen plus dans la lignée de ce que font les Coen d’habitude (dans la série : « les idiots » en tout cas). Certains des personnages tout aussi pathétiques qu’ils soient, sont à mourir de rire. Certaines situations sont tellement absurdes que le film en devient « mythique ». Un très bon Coen à mes yeux. Dingue comme Brad Pitt arrive à rajeunir sur commande.

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