Bleu presque transparent de Ryû Murakami

Je lis des choses qui se lisent vite en ce moment. C’est pour ça que j’ai choisi Bleu presque transparent dans la pile de bouquins (lui et son aura sulfureuse). J’aurais peut-être mieux fait de me casser une patte ce jour-là. Mon dieu ! elle est choquée, elle n’a pas réussi à le finir… non, elle est blasée. Parce que Bret Easton Elis, Requiem for a Dream et autres Trainspotting sont passés par moi et que du coup il est difficile de trouver du neuf dans ce livre. La jeunesse japonaise désoeuvrée et non-intégrée se fout en l’air et s’envoie au 7ème ciel, rêve et tripe. En 1976, ça a du faire beaucoup d’effet mais 31 ans plus tard, c’est du réchauffé. Si, un truc marrant toute de même : à la frontière de mon coma il y a 2 ans, mon esprit était aussi créatif que celui de Ryû page 94 et je me shootais juste à l’insuline et au potassium…mais sinon bof.

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