Films vus 35

  • Hollywoodland : Papatte Ou comment voir Ben Affleck sous un autre jour, comprendre l’histoire de la malédiction Superman, replonger dans une époque que j’aime bien, suivre une enquête pas si simple et obtenir une réponse théorique qui pourrait bien être la vérité. Brody toujours aussi bo(n) bien-sûr 🙂
  • The Prestige : Papatte A ne pas voir dans la foulée de The Illusionist je pense vu que les 2 films ont quand même quelques points communs notamment au niveau de la construction générale de l’intrigue. D’ailleurs comme dans le premier, il n’est pas difficile de deviner ce que cache la fin (le prestige), tout est dans comment on y arrive (le tour). Je mets la même note aux deux mais je donne quand même l’avantage à The Prestige pour l’histoire plus consistante et autrement plus dramatique.
  • The Quiet : Papatte Bien plus prenant et surprenant que ce que laissait présager le résumé. Cuthbert et Belle très bien toutes les deux. Ça rattrappe les quelques faux pas du scénario.
  • Unknown : Papatte Le film est tellement lent et brouillon à démarrer qu’il perd tout intérêt au bout d’un quart d’heure. Les rebondissements font quasiment tous paf le chien. Ça ressemble à du Cube (+) et à du Saw (-) sans en être heureusement mais sans transformer l’essai non plus.
  • Chats perchés : Papatte Documentaire original qui entrelace une chasse aux chats (que les parisiens ont probablement déjà aperçus sur les murs de la ville) avec quelques événements marquants du début du XXIème siècle et une touche de nostalgie pour l’ex-habitante de Paris que je suis. Quelques passages plus faibles mais globalement bien fichu.
  • The Woods : Papatte Agréable petite surprise même si ça n’est clairement pas un grand film. Un peu comme certains films d’horreur coréens et japonais, c’est annoncé comme horrifique mais c’est un peu plus que cela. En l’occurence, ici, il s’agit des joies de la pension. L’ambiance est très réussie.
  • The Libertine : Papatte John Wilmot : inconnu au bataillon mais les notes imdb et Depp auront suffit à me convaincre. Le film regorge de très bons moments où les acteurs excellent notamment Samantha Morton. Pas mal de longueurs et de la poésie pour laquelle je suis peu réceptive font peser la balance dans l’autre sens. Ça sent très fort la pièce de théâtre (ça n’est pas un reproche) et pour cause : le film est basé sur la pièce de Stephen Jeffreys. A retenir : 1) La syphillis, c’est pas beau. 2) Même Vanessa n’a pas du reconnaitre son mari à la fin. 3) Heureusement qu’il y a ces monologues très cyniques au début et à la fin pour donner un petit plus à l’histoire et mieux comprendre les motivations du personnage.
  • The Hills Have Eyes : Papatte Film d’horreur totalement inefficace voire même plutôt très drôle notamment grace à Robert Joy qui a déjà un rôle un peu space dans CSI NY et qui, là, est complétement délirant. C’est dommage parce que cette histoire de mutations génétiques dues aux essais nucléaires dans le desert est pas mal du tout. A comparer avec l’original à l’occasion.
  • The Squid and the Whale : Papatte Film autobiographique sur un divorce vécu par deux frères. Beaucoup de non-dits comme je les aime, beaucoup d’échanges entre les personnages criants de vérité. Un beau film malgré quelques scènes un peu longuettes. Bon casting aussi.
  • Bee Season : Papatte Eurk. La gamine a beau être mignonne comme tout et les concours d’épellation impressionnants, le film véhicule pas mal d’idées (notamment religieuses) qui, comme qui dirait, me donnent de l’urticaire. La scène de révélation/expérience mystique/convulsions à la fin est le coup de pelle final qui enterre le film. A part ça, la réalisation est très très propre mais le scénario passe à côté de son sujet.
  • La Petite Jérusalem : Papatte Le personnage principal de la jeune étudiante en philo qui trouve son propre chemin dans la vie grace à sa matière favorite en échappant à la pression religieuse environnante est assez fascinant et d’une belle intelligence. Un beau film réalisé par une femme sur des femmes et leur façon de vivre avec leur religion. Parfois dur, parfois très touchant et surtout une invitation à la tolérance et à l’ouverture d’esprit.
  • We Are Marshall : Papatte Vu le sujet (une équipe de football americain est tuée dans le crash d’un avion, ceux qui restent vont reconstruire l’honneur de Marshall), je m’attendais un peu à un film ultradégoulinant comme les américains savent si bien en pondre parfois (genre Ladder 49). Effectivement ça dégouline pas mal par moment notamment avec le gros insert dans la scène finale qui gache un peu. Puis ça parle de football américain et même si j’ai regardé 2 minutes de Superbowl par curiosité en début de semaine, j’avoue ne pas avoir d’attrait particulier pour ce sport. Mais voilà, le film est avec un Lostie (qui a un attrait certain pour les crashs d’avion apparemment), c’est basé sur une histoire vraie, Matthew Mcconaughey est assez bluffant et en plus c’est plutôt bien réalisé. J’ai donc passé 2 bonnes heures.

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