Aliens, le retour

Aliens, le retour

James Cameron

19862 h 17 min
Résumé

Après 57 ans de dérive dans l’espace, Ellen Ripley est secourue par la corporation Weyland‐Yutani. Malgré son rapport concernant l’incident survenu sur le Nostromo, elle n’est pas prise au sérieux par les militaires quant à la présence de xénomorphes sur la planète LV‐426 où se posa son équipage… planète où plusieurs familles de colons ont été envoyés en mission de « terraformage ». Après la disparition de ces derniers, Ripley décide d’accompagner une escouade de marines dans leur mission de sauvetage… et d’affronter à nouveau la Bête.

Métadonnées
Titre Aliens, le retour
Titre original Aliens
Réalisateur James Cameron
Date de sortie 18 juillet 1986
Pays  États-Unis Royaume-Uni
Langues Anglais
Durée 2 h 17 min
Acteurs
Avec : Sigourney Weaver, Carrie Henn, Michael Biehn, Paul Reiser, Lance Henriksen, Bill Paxton, William Hope, Jenette Goldstein, Al Matthews, Mark Rolston, Ricco Ross, Colette Hiller, Daniel Kash, Cynthia Dale Scott, Tip Tipping, Trevor Steedman, Paul Maxwell, Valerie Colgan, Alan Polonsky, Alibe Parsons, Blain Fairman, Barbara Coles, Carl Toop, John Lees, Eddie Powell, Jay Benedict, Mac McDonald, William Armstrong, Holly De Jong, Jill Goldston, Elizabeth Inglis, Stuart Milligan, Bob Sherman, Chris Webb, Tom Woodruff Jr.

Revu le 14 juillet 2008
Avis : Toujours dans la série des films par revus depuis trois lustres. En toute logique, je l’ai vu après le 3. À l’époque déjà, c’était le favori de beaucoup de monde et personnellement, le nom de James Cameron me laissait bien froide. Vu une seule fois, strictement aucun souvenir sauf de la reine alien parce qu’elle en jette. Du coup, autant dire que c’est comme si je voyais le film pour la première fois. Et autant je reconnais au film de nombreuses qualités (à condition d’aimer le style bourrin), autant il reste celui que j’apprécie le moins. Je ne suis pas super fan du côté militaire plein de testostérone qui se la pète. Rien que la super woman latino est complètement ridicule. Après, c’est vrai que ça donne un peu plus de piment à l’histoire quand on voit le nombre d’hostiles en face, mais pour le coup, on n’est plus dans le jeu de massacre que le film d’horreur. Et là encore, c’est marrant de reconnaitre des visages vus ailleurs comme Paul Reiser que je ne connais que par Mad About You. Lance Henriksen par contre, je ne l’ai jamais oublié, mais qu’est-ce qu’il était jeune !
Ici encore, il ne s’agit pas de la version ciné mais de la version longue.

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