Oppenheimer réalisé par Christopher Nolan

Oppenheimer de Christopher Nolan Synopsis Allociné : En 1942, convaincus que l’Allemagne nazie est en train de développer une arme nucléaire, les États-Unis initient, dans le plus grand secret, le « Projet Manhattan » destiné à mettre au point la première bombe atomique de l’histoire. Pour piloter ce dispositif, le gouvernement engage J. Robert Oppenheimer, brillant physicien, qui sera bientôt surnommé « le père de la bombe atomique ». C’est dans le laboratoire ultra-secret de Los Alamos, au cœur du désert du Nouveau-Mexique, que le scientifique et son équipe mettent au point une arme révolutionnaire dont les conséquences, vertigineuses, continuent de peser sur le monde actuel…

Joint Security Area (JSA) de Park Chan-wook

Synopsis (piqué sur wikipédia) : Dans un poste de garde situé du côté nord de la zone commune de sécurité (Joint Security Area en anglais) séparant les deux Corées à Panmunjeom, deux soldats de l’armée nord-coréenne sont tués par un soldat du sud, le sergent Lee Soo-yeok. Le nord parle de tentative d’invasion, tandis que le soldat affirme avoir été victime d’un enlèvement. Cette affaire trouble donne lieu à un incident diplomatique majeur. Afin d’apaiser la crise, la Commission de supervision des nations neutres en Corée (composée de la Suède et de la Suisse) envoie Sophie E. Jean, Suisse d’origine coréenne, pour enquêter sur le terrain. Cette dernière rencontre le sergent Lee et découvre rapidement qu’il n’a pas été enlevé comme il le prétend.

Dune, partie 1 réalisé par Denis Villeneuve

De ma lecture de Dune il y a plus de vingt ans, je n’ai gardé que quelques souvenirs très diffus, vaguement ravivés par le visionnage du Dune de David Lynch et de la mini-série du début des années 2000. J’arrivais donc en salle avec un esprit quasi vierge en ayant vu une fois le trailer. Je n’ai rien lu depuis la sortie, je me suis juste assise dans mon fauteuil en simili cuir et je me suis laissée porter. Et mon voyage n’aurait pas pu être plus parfait.

Festival du court métrage de Clermont-Ferrand : 43e édition

Une fois n’est pas coutume – mais j’espère que je pourrai remettre ça l’année prochaine, j’ai pu profiter du festival du court métrage de Clermont-Ferrand. Chose qui n’était pas arrivée depuis – oula – la fac. Le pass ne coûtait que 12 € – ce qui est donné vu que j’y ai passé 752 min, soit 10 h 32 minutes – et permettait d’accéder à l’ensemble des courts pendant la durée du festival, c’est-à-dire du 29 janvier au 6 février. J’ai pris un peu de retard les premiers jours, …

Avis : Nicky Larson et le parfum de Cupidon

Avis initialement publié sur CinémAsie avec la note coup de cœur de 4/5

Potache et ultra-régressif

Souvenez-vous du tollé provoqué par l’annonce du film en 2017. Souvenez-vous des crises d’apoplexie lors de la mise en ligne de la bande-annonce en 2018. Des Français osent toucher à City Hunter alors que toute une génération est encore plus ou moins traumatisée par le doublage très approximatif mais néanmoins culte de la série télévisée. Plus jamais ça ! Brûlons-les !

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