Le Perce-neige de Rensuke Oshikiri

Présentation de l’éditeur : Le lecteur suit le quotidien difficile de Haruka Nozaki, une adolescente qui emménage avec sa famille dans une ville rurale suite au travail de son père. Elle intègre ainsi l’école de la petite ville et doit faire face aux harcèlements de ses camarades de classe particulièrement sadiques. Ne voulant pas inquiéter sa sœur et le reste de sa famille, Haruka décide de les ignorer jusqu’à la remise des diplômes. Mais tout bascule quand ses parents meurent dans un incendie provoqué par ses bourreaux, alors que sa sœur survit avec de graves brûlures. Haruka décide alors de se venger…

Avis : Nicky Larson et le parfum de Cupidon

Avis initialement publié sur CinémAsie avec la note coup de cœur de 4/5

Potache et ultra-régressif

Souvenez-vous du tollé provoqué par l’annonce du film en 2017. Souvenez-vous des crises d’apoplexie lors de la mise en ligne de la bande-annonce en 2018. Des Français osent toucher à City Hunter alors que toute une génération est encore plus ou moins traumatisée par le doublage très approximatif mais néanmoins culte de la série télévisée. Plus jamais ça ! Brûlons-les !

Les Portes du néant de Samar Yazbek

Quatrième de couverture : Figure de l’opposition au régime de Bachar al-Assad, Samar Yazbek est contrainte de quitter son pays tant aimé en juin 2011. Depuis son exil, elle ressent l’urgence de témoigner. Au mépris du danger, elle retourne clandestinement dans son pays, en s’infiltrant par une brèche dans la frontière turque. Trois voyages en enfer dans la région d’Idlib où elle vit de l’intérieur l’horreur de la guerre civile, aux côtés des activistes. Des premières manifestations pacifiques pour la démocratie, à la formation de l’Armée Syrienne Libre, jusqu’à l’émergence de l’État islamique, Samar Yazbek livre un témoignage courageux sur le quotidien des combattants, des enfants, des hommes et des femmes ordinaires qui luttent pour survivre. Elle dit l’odeur de la terre après l’explosion d’une bombe, l’effroi dans le regard des mères, les corps mutilés ; elle dit l’une des plus grandes tragédies du XXIe siècle.

Je vous écris de Téhéran de Delphine Minoui

Quatrième de couverture : Sous la forme d’une lettre posthume à son grand-père, Delphine Minoui, journaliste franco-iranienne, raconte ses années passées à Téhéran, de 1997 à 2009. Elle porte un regard neuf sur son pays d’origine, tiraillé entre ouverture et repli. À ses côtés, on s’infiltre dans les soirées interdites, on pénètre dans l’intimité des mollahs et des miliciens bassidjis, on suit les espoirs et les déceptions du peuple…

Putain de Nelly Arcan

Quatrième de couverture : Cachée derrière les rideaux de sa chambre, une prostituée patiente entre deux clients. L’attente se nourrit du souvenir : une famille dévote, une mère absente et un père distrait. Et parfois la jouissance éprouvée avec ces hommes auxquels elle fait l’amour, ces hommes qu’elle déteste peut-être autant qu’elle-même.

Avis : Il serait tentant, dès les premières lignes, et sous prétexte que le livre est une autofiction, d’assimiler totalement l’auteur et son personnage. Surtout quand le suicide de l’auteur en 2009 peut être interprété comme une validation. Ce mal-être du personnage, son penchant suicidaire, c’était forcément celui de l’auteur puisqu’elle a fini par se pendre.

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