Avis : Ô nation sans pudeur de Philip K. Dick

Présentation de l’éditeur : 1949. La République populaire de Chine tout juste proclamée invite les compagnies étrangères installées sur son territoire à plier bagage. Trois Américains choisis au hasard par leur employeur, Verne Tildon, Barbara Mahler et Carl Fitter, demeurent sur place pour remettre officiellement les clés du complexe industriel déserté à ses nouveaux propriétaires. Commencent alors pour eux trois des vacances improvisées, que le soleil écrasant et l’oisiveté ont tôt fait de transformer en huis clos étouffant où les cœurs et les tempéraments s’échauffent.

Six Feet Under. Nos vies sans destin de Tristan Garcia

Présentation : Six Feet Under est l’équivalent des grands romans français, russes ou allemands de la fin du XIXe siècle. Elle nous dévoile des vies sans destin, qui sont aussi les nôtres. Autour de la famille Fisher, gérante d’une entreprise de pompes funèbres, cette série suit le parcours d’une poignée de personnages dont la mort est le métier. Une dizaine d’individus de la classe moyenne américaine s’aiment, travaillent, et tous cherchent à tâtons un sens dans un monde qui les laisse libres de croire, ou non, à un Salut.

Avis : Le Voyage d’hiver d’Amélie Nothomb

Spoiler Alert : je donne mon interprétation de la fin.
4ème de couverture : « Il n’y a pas d’échec amoureux. »

Zoïle est tombé amoureux de la douce Astrolabe, mais la jeune femme consacre tout son temps à Aliénor, une romancière géniale quoique légèrement attardée. Par dépit, il décide de détourner un avion et de l’envoyer percuter la tour Eiffel. À moins que…

Le Soupir de l’immortel d’Antoine Buéno – Version Longue

Le Soupir de l’immortel ayant provoqué beaucoup trop d’étincelles dans ma petite tête, j’ai dû me résoudre à produire non pas un, mais deux textes. Un « court » avis mieux structuré, plus impersonnel et qui rentre moins dans les détails. Et le texte ci-dessous, beaucoup plus long avec plein de « je », que j’avais besoin d’écrire pour soulager un peu ma pression intracrânienne. Avis aux amateurs qui n’auront pas peur de se gâcher le plaisir de découvrir le contenu du livre par eux-mêmes.
Note : il y a des liens sur les étoiles qui renvoient à des notes de « bas de page ». Une flèche permet de remonter ensuite au bon endroit.
Edit du 22/07 : j’ai dû revoir quelques phrases pour dissimuler des maladresses flagrantes.

Avis : Le petit livre bleu – Analyse critique et politique de la société des Schtroumpfs d’Antoine Buéno

Nous sommes sans doute nombreux à n’avoir gardé qu’une vague trace en mémoire de notre première rencontre avec les Schtroumpfs. En ce qui me concerne, elle date de l’école primaire, seule époque où j’ai vraiment consommé beaucoup de bandes dessinées franco-belges. Depuis, je n’ai pas recroisé un seul petit homme bleu. Soit plus de 20 ans. Un ouvrage tel que ce Petit livre bleu nécessite forcément beaucoup d’exemples pour appuyer le propos et aurait rapidement pu devenir nébuleux. Antoine Buéno arrive au contraire à faire remonter à la surface des souvenirs très lointains et à ne jamais perdre le lecteur à chaque évocation d’un passage bien précis des aventures schtroumpfesques. Sa démonstration n’en devient alors que plus limpide au fil des pages.

Avis : A Feast for Crows (A Song of Ice and Fire 4) de George R.R. Martin

Avis : Jusqu’à présent, j’avais réussi à étaler la lecture de cette série sur plusieurs mois pour me laisser le temps de souffler entre deux tomes. Mais celle de A Storm of Swords a été tellement intense et prenante qu’il m’a été impossible de ressortir de l’univers de l’auteur à la fin. Je me suis dit que je pourrais toujours commencer A Feast for Crows tout doucement et faire une pause en cours de lecture. Ça n’aurait pas été la première fois. C’était sans compter que le tome 4 est beaucoup plus petit que le tome 3 (Si si, je vous assure). Résultat : 20 jours pour le lire. Un record pour moi, surtout que j’ai essayé de prendre mon temps.

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