Derniers films vus 86

  • The Twilight Samurai (2002) : Papatte J’en ai déjà longuement parlé ici, avec une comparaison de l’approche du thème du samouraï par les Américains d’un côté et les Japonais de l’autre.
  • War (2007) : Papatte Film globalement bancal qui prend un peu trop son temps pour annoncer la couleur. Heureusement, il y a ce twist final auquel on adhère ou pas. Personnellement, ça m’a tellement prise par surprise que ça a remonté la note d’un coup. Dommage que le duo Jet Li/Jason Statham soit sous-exploité. C’était une bonne idée de les réunir mais ce genre de démarche séduisante se solde le plus souvent par un échec.
  • Roujin Z (1991) : Papatte Honte à moi, je n’avais jamais regardé ce film alors que ça fait des années que j’ai le DVD. Oui, je m’enfonce encore plus là. J’ai bel et bien vu la vieille version Manga vidéo avec sa traduction plus que douteuse ; et pourtant, je n’ai que de vagues bases de japonais, mais visiblement elles étaient suffisantes pour grincer des dents. Hormis ce problème assez gênant, le film reste un petit bijou de SF, d’humour, de réflexion sur l’avenir de nos vieux et en plus c’est très touchant. Un visionnage vivement recommandé. (Oui oui, promis, je le reverrai dans de meilleures conditions la prochaine fois.)
  • Jumper (2008) : Papatte Jumper avait tout pour être un bon film. Oui, il aurait pu mais il ne l’est pas. Basé sur une bonne idée, l’intrigue ne prend jamais d’ampleur. Les effets spéciaux sont sympathiques mais on était en droit d’en attendre un peu plus au niveau de l’histoire aussi.
  • Mission Impossible: Ghost Protocol (2011) : Papatte Les scènes d’action sont spectaculaires, surtout celle sur la Burj de Dubaï. Le reste est anecdotique.
  • Hodejegerne (2011) : Papatte La claque du moment. C’est un thriller tendu, sans concessions, ultra-violent (il vaut mieux être prévenu, c’est vraiment vraiment violent). J’étais dedans d’un bout à l’autre et, heureusement, je n’avais pas d’accoudoirs sous la main. Je vais sans doute lire le livre qui est à l’origine du film par curiosité, mais je n’en attends pas une baffe aussi magistrale.
  • Haywire (2011): Papatte Ce que j’aime par dessus tout c’est qu’il ne s’agit pas d’un film d’action comme les autres. Ça aurait été facile de tout faire reposer sur les seules épaules de la très belle et athlétique Gina Carano, mais il faut aussi et surtout compter sur la réalisation de Soderbergh. Ça donne à ce Haywire une saveur bien particulière et, franchement, ça fait du bien de voir des scènes de baston qui ne sont pas bruitées avec excès. L’intrigue en elle-même n’est pas des plus originales mais elle assure son rôle de squelette sur lequel vient se fixer le reste.
  • Les aventures extraordinaires d’Adèle Blanc-Sec (2010) : Papatte Je ne sais même pas pourquoi je me suis mis en tête, un dimanche soir, de regarder ce film. La seule présence de Louise Bourgoin au casting aurait dû m’en dissuader. J’ai cru mourir au bout de 10 minutes. Pour résumer : surjoué et pas drôle. Je me suis vraiment forcée à aller jusqu’au bout parce qu’il est rare que j’entame un film sans lui laisser une chance jusqu’à la dernière minute. Je ne suis pas rentrée dans le trip à un seul instant. Mais pourquoi n’ont-ils pas plutôt mis Laure de Clermont-Tonnerre dans le rôle principal ? Je me suis soudainement réveillée quand elle a fait de même… à 5 minutes de la fin.

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