Diwouidi 20

Une selection très Cusack et très comédies romantiques de Noel. Il y a aussi du Dermot Mulroney et sa femme mais pas dans le même film et je ne l’ai même pas fait exprès.

  • Must love dogs : Papatte assez classique mais l’humour du personnage de Diane Lane est assez irrésisible et laisse une bonne impression.
  • Walk the line : Papatte On aurait pu se demander quel était l’intêret de voir ce film quand on ne connait ni Johnny Cash ni ses chansons. Comme quoi la curiosité a du bon, ça se regarde d’une traite sans temps mort. En plus de ratracer la vie du chanteur, c’est un bon témoignage d’une époque où les tournées arrivaient à réunir des grands noms comme Orbisson, Elvis et Jerry Lee Lewis. Joaquin Phoenix y est sacrément impressionnant. A voir ne serait-ce que pour le grand numéro d’acteur qui chante et joue de la guitare qu’il nous livre.
  • Dawn of the dead : Papatte version 2004. Il fallait garder espoir, les zombies ont encore un avenir. J’ai adoré. Ce que je reprochais jusqu’à présent aux morts vivants, c’était leur lenteur genre « faut pas se presser y a pas le feu au lac » et leur habitude débile de taper sur une porte pendant des heures alors qu’il suffit souvent de tourner la poignée. Bon pour le deuxième point c’est pas encore ça mais niveau célérité, ils ont passé la vitesse supérieure. Reste plus qu’à voir la version de 1978.
  • Kiss Kiss Bang Bang : Papatte Attention : faut suivre. La finalité de l’histoire n’est pas compliquée en elle-même mais la façon dont le scénario se développe est particulièrement alambiquée. J’ai rarement vu un film aussi barge. Ça part vraiment dans tous les sens dès les premières minutes avec enormement d’humour, des situations toutes aussi inimaginables les unes que les autres et un thriller qui tient malgré tout particulièrement bien la route. Un rôle idéal pour Robert Downey Jr.
  • Inside Man : Papatte un braquage de banque dirigé d’un main de maître autant dans la conception du plan que dans la réalisation. Dalton Russell prévient : il faut faire bien attention à tout ce qu’il dit car il ne se répète pas. Spike Lee non plus. A redéguster donc pour les petits détails qui tuent et pour le plaisir de revoir interagir tous ces très bons acteurs et leur jeu de répliques bien ciselées.
  • Serendipity : Papatte Film savoureux où hasard, coincidences et destin n’arrêtent pas de se croiser. On sait comment ça se finit mais le chemin n’est pas simple et c’est là l’interêt du film (en plus de la toujours charmante Kate Beckinsale).
  • Runaway Jury : Papatte Une très bonne surprise mais je ne peux pas trop en dire pour ne pas gacher l’effet de surprise. Une chose toute fois : c’est vraiment haletant à condition de ne pas trop s’attarder sur la valeur du procès en lui-même. L’enjeu devait être gros, le tabac dont il était question dans le livre d’origine était effectivement mieux senti que la vente d’armes (cf trivia imdb).
  • The Family Stone : Papatte prévisible mais tout à fait honnête pour une comédie romantique. L’ambiance dans la maison familiale est très réussie même si on pense un peu trop à « Ma meilleure ennemie » par moment. Dommage aussi que SJP soit parfaitement moche, pas sexy et squelettique. La sauce aurait mieux pris avec une autre actrice (dans le même genre de rôle, Embeth Davidtz dans Junebug était bien meilleure).
  • Flightplan : Papatte Quand Jodie Foster joue la carte de l’emmerdement maximal. La première heure est franchement dure à supporter. La dernière demie-heure est tout juste potable. La fin est standard. Il ne manquait plus que les applaudissements. On remarquera en passant une grosse ressemblance dans le traitement de la paranoia avec The Forgotten. De grosses ficelles bien américaines, un avion où on ne peut pas marcher avec des talons sans que tout résonne comme dans une cathédrale et visiblement quelqu’un qui avait un besoin urgent de payer ses impôts. Enfin on peut toujours se dire qu’en matière d’avion le pire est à venir.
  • Being John Malkovich : Papatte l’idée de base de ce film est tout simplement brillante et certaines scènes relèvent du génie. Ça demanderait sans doute une seconde vision pour s’attarder sur les questions existentielles que peut soulever ce film mais j’avoue que mon cerveau s’y refuse. Reste que j’ai trouvé qu’il y avait des longueurs et que je ne peux pas être complétement positive au final. Cameron Diaz est méconnaissable mais je me demande si elle ne ressemble pas à ça quand elle n’est pas maquillée en fait (aucun rapport avec la choucroute, je sais).
  • Intolerable Cruelty : Papatte un film où j’ai du dire « mais quelle buse ! » toutes les 10 minutes. J’ai bien ri et je savoure de plus en plus l’acteur Clooney. C’est quand même loin d’être mon Coen préféré mais ça se laisse regarder avec plaisir.

2 commentaires pour “Diwouidi 20

  1. Pour The runaway qui est pas mal du tout je te l’accorde, il faut quand même accrocher aux abérations du scenario qui sont tout de même extrêmement nombreuses…

    L’équipe « d’espion » qui introduit tout sur les gadgets electroniques dans la salle d’audience… Franchement tu imagines une valise aussi grosse sur la table de l’avocat et a chaque fois que quelqu’un parle il tourne la valise…

    J’ai cherché le bouquin « Comment devenir juré au procés que je veux  » à la fnac maisje l’ai pas trouvé….

Les commentaires sont fermés.

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