Diwouidi di

  • Croupier : Papatte Ça aurait fait un bon téléfilm. Le sortir au ciné n’était pas forcément une bonne idée bien que le film soit assez intéressant. Entre film-noir et documentaire sur la vie de croupier, on se laisse entraîner par le ton monocorde de la voix-off de Clive Owen tout en s’interrogeant sur ce qui va bien pouvoir arriver au personnage à la fin. Un film assez étrange au premier abord qui peut paraître un peu froid dans la forme, mais qui mérite d’être vu.
  • Batman Begins : Papatte De loin le meilleur de la série avec les Burton. On retrouve enfin des personnages humains et complexes (surtout Batman) auxquels il y a moyen de s’attacher. Le thème de la peur sous ses diverses formes qui habite le film donne vraiment une nouvelle profondeur à l’histoire. Le trio Bale-Caine-Freeman pose les fondations d’une nouvelle série de Batman que j’ai hâte de voir se développer. En plus, si on éjecte Holmes, c’est encore mieux. Un malus quand même : je n’accroche pas vraiment à la voix grave que prend Bale en Batman même si c’est effectivement un peu une obligation de la changer.
  • I, Spy : Papatte Que ce film est moisi ! Si encore les effets comiques faisaient mouche, ça aurait au moins été divertissant, mais en dehors de la scène de drague avec les lentilles, c’est assez pauvre. Le scénario est confus surtout sur la fin et l’alchimie Wilson-Murphy est loin derrière Chan-Tucker.
  • I’ll Sleep when I’m Dead : Papatte On continue avec les films de Mike Hodges. Celui-là m’a nettement moins convaincu que Croupier. Le style est le même, mais l’enquête que mène Will pour comprendre les raisons de la mort de son frère m’a bien peu passionnée, tout comme les relations entre les protagonistes. Le mystère autour du passé de Will est assez mal géré et finalement la fin est assez plate.
  • The Life Aquatic with Steve Zissou : Papatte Même effet que pour The Royal Tenenbaum. L’impression de ne pas vraiment savoir où veut en venir le réalisateur qui a l’air de coller des scènes les unes après les autres sans réelle transition, des personnages difficiles à cerner et, pourtant, au final, on constate que c’est un univers cohérent à sa manière qui s’est construit et qu’on y était bien. C’est déroutant, mais ça fait du bien.
  • Maria Full of Grace : Papatte Une incursion dans le monde des passeuses de drogues colombiennes assez terrifiante. Je ne sais pas ce qui est le pire entre celles qui se remplissent le tube digestif de capsules d’héroïne et les nanas de Nip/Tuck qui les trimballent sous forme d’implants mammaires. Inutile de préciser que l’actrice principale qui porte tout le film sur ses épaules est impeccable.
  • What a Girl Wants : Papatte Une comédie qui semble s’adresser aux gamines (je sais, je suis une grande enfant) et qui finalement n’est pas si mal que ça. Je ne connaissais pas du tout Amanda Bynes, mais je dois avouer que la jeune fille est fort pétillante et son personnage loin des clichés cul-cul-gnian-gnian-nunuche auxquels on a droit habituellement dans ce genre de productions. En plus, c’est vraiment drôle. Je suis sous le charme.
  • Trauma : Papatte J’étais juste curieuse de voir Colin Firth dans autre chose qu’une comédie (et trop lointainement Valmont). Le film n’est franchement pas terrible. Ça joue sur la carte « où est la réalité, suis-je dans la tête du personnage ou non ? » et finalement l’effet est complètement raté. Je suppose qu’il faudrait le revoir pour s’apercevoir qu’en fait le personnage principal est dans un hôpital psychiatrique quasiment tout du long (l’idée m’est venue à l’esprit à plusieurs reprises) et que le montage fait que les scènes ne sont pas dans l’ordre et qu’il faut reconstituer le puzzle des événements, ce qui devrait aider à faire la part du vrai et du faux. Franchement je n’en ai pas le courage.
  • Kaze no Tani no Nausicaa : Papatte Inutile de faire des commentaires quant au fait que je ne le vois que maintenant. Le problème, c’est justement de le voir si tard alors que j’ai dû voir quasiment tous les autres, Mononoke en tête. Alors, certes, ça pose les bases de l’œuvre Miyazakienne, mais comme j’ai dû vérifier 5 ou 6 fois l’état d’avancement du DVD, c’est que ça ne m’a pas fascinée autant que certains l’auraient s’en doute espéré. Puis Shubby m’a ruiné le film d’abord, c’est de sa faute 😛 (?/10, aucun idée. Que j’aime ou pas, je n’essaye même plus de mettre un note, et encore moins un texte, en témoigne le désert total que j’ai laissé sur CinémAsie sur le sujet)

Articles similaires

Commencez à saisir votre recherche ci-dessus et pressez Entrée pour rechercher. ESC pour annuler.

Retour en haut