Tanuki to Kame contemplent le Pacifique avec beaucoup de Zen

On va tenter le post à la Avi pour essayer de respecter l’ordre des photos pour une fois 🙂

Aujourd’hui direction Kamakura, ses temples, ses sanctuaires, sa plage. A une heure de train depuis Tôkyô, on est directement déposés au pieds du Temple Engaku-ji qui sera le point de départ de notre grande balade du jour. J’apprends à l’instant grâce à mon amie wikipedia qu’Ozu est enterré là. On était tellement absorbés par les cerisiers et les vieilles planches en bois qu’on est complètement passés à côté.

Kamakura - Gare Kamakura - Plan Kamakura - Engakuji
Kamakura - Engakuji Kamakura - Engakuji Kamakura - Engakuji
Kamakura - Engakuji Kamakura - Engakuji Kamakura - Engakuji

Très zen comme petit jardin, sauf pour certaines plantes ressemblant fortement à des oignons que l’on plie pour mieux les nouer.

Kamakura - Engakuji Kamakura - Engakuji Kamakura - Engakuji
Kamakura - Engakuji Kamakura - Engakuji Kamakura - Engakuji
Kamakura - Engakuji Kamakura - Engakuji Kamakura - Engakuji

Ci-dessous, une cloche classée Trésor national, datant de 1301.

Kamakura - Engakuji

Pour les anglophones qui veulent en savoir plus sur ce temple, j’ai deux bons liens. A noter que ce complexe est considéré comme le second temple Zen de Kamakura. Pour ne pas faire de jaloux, on part donc à l’assaut du number one : le Temple Kencho-ji qui est un haut-lieu de la pratique du Zazen. A quelques jours près on aurait même pu participer à une journée portes ouvertes. Des fois qu’on aurait eu des doutes, on s’est vraiment rapprochés du Ground Zero de l’éclosion du cerisier en fleurs. La porte d’entrée n’en paraît que plus belle.

Kamakura - Kenchoji Kamakura - Kenchoji Kamakura - Kenchoji

Ici aussi on trouve une cloche classée Trésor National et comme il n’y en a que deux à Kamakura, on peut dire qu’on a tout vu.

Kamakura - Kenchoji Kamakura - Kenchoji Kamakura - Kenchoji
Kamakura - Kenchoji Kamakura - Kenchoji Kamakura - Kenchoji
Kamakura - Kenchoji Kamakura - Kenchoji Kamakura - Kenchoji

Pour le coup, c’était tellement grand qu’on aurait pu s’engager dans une balade de plusieurs heures dans les collines à l’arrière du complexe mais on a préféré s’arrêter aux jolis lions.

Kamakura - Kenchoji Kamakura - Kenchoji Kamakura - Kenchoji
Kamakura - Kenchoji

Pareil pour en savoir plus, je vous envoie ici.

Pour digérer tout ça, on s’est dit qu’un petit sanctuaire ne pourrait pas faire de mal. C’est là que le gros de la foule se trouve alors qu’honnêtement le bâtiment n’est pas extraordinaire (d’ailleurs on ne l’a même pris en photo qu’une fois, c’est dire). Par contre, la vue depuis le Tsurugaoka Hachimangu est très sympa. (le gros paté rose au-dessus du toit, c’est une allée de cerisiers)

Kamakura - Tsurugaoka Hachimangu Kamakura - Tsurugaoka Hachimangu Kamakura - Tsurugaoka Hachimangu

Là commence l’orgie de cerisiers en fleurs. On en prend plein les mirettes et petit patapon fait trempette.

Kamakura - Tsurugaoka Hachimangu Kamakura - Tsurugaoka Hachimangu Kamakura - Tsurugaoka Hachimangu
Kamakura - Tsurugaoka Hachimangu Kamakura - Tsurugaoka Hachimangu Kamakura - Tsurugaoka Hachimangu

On craque même pour quelques brochettes et on shoote les mariés avant de remonter l’allée des cerisiers en fleurs sus-citée.

Kamakura - Tsurugaoka Hachimangu Kamakura - Tsurugaoka Hachimangu Kamakura - Tsurugaoka Hachimangu
Kamakura - Tsurugaoka Hachimangu Kamakura - Tsurugaoka Hachimangu Kamakura - Tsurugaoka Hachimangu

Ceci est l’entrée du sanctuaire, mais on aime bien faire les choses à l’envers 🙂

Kamakura - Tsurugaoka Hachimangu

En continuant toujours tout droit dans l’axe de l’allée des cerisiers, on tombe sur…l’océan Pacifique que je voyais pour la première fois et que j’ai même été toucher pour l’occasion. Tortue a pris des tonnes de photos de rapaces et autres corbacs et je me suis vengée sur un chien typiquement japonais.

Kamakura - Plage Kamakura - Plage Kamakura - Plage
Kamakura - Plage Kamakura - Plage Kamakura - Plage

Le truc marrant c’est que plus on approchait de la plage, plus on sentait la proximité d’Hawaï (enfin je dis juste ça à vue de noms de resto et autres magasins de planches à voiles avec des noms imprononçables pleins de voyelles). Autre truc marrant mais moins quand ça arrive, c’est la carte de la montée des eaux en cas de tsunami qui permet de savoir où il vaut mieux se réfugier.
Juste au cas où et parce qu’il commençait à se faire tard, on a rebroussé chemin et avons sauté dans le premier train en direction de la capitale. Comme on avait les mollets bien chauds, on a poussé jusqu’à Roppongi Hills pour voir ce qu’on avait raté la fois d’avant et ma foi c’était une bien bonne idée vu la tête des « sushis » et des cerisiers.

Kyôtô - Roppongi Kyôtô - Roppongi Kyôtô - Roppongi
Kyôtô - Roppongi Kyôtô - Roppongi Kyôtô - Roppongi
Kyôtô - Roppongi

Notons que les cerisiers étaient doublement éclairés car un tournage de série était en cours, mais on n’a reconnu personne malheureusement (il nous aurait fallu une maaya444 sous la main pour ça).
Inutile de préciser que nous avons dormi comme des souches cette nuit-là.

PS : J’ai failli oublier le pano pris dans un jardin du temple Kenchoji.

7 commentaires pour “Tanuki to Kame contemplent le Pacifique avec beaucoup de Zen

  1. C’est tjs aussi beau. Bon, je te préférais en robe de mariée et dommage, le chien est de dos, on ne voit mm pas ses yeux bridés !!

  2. c’est bien ce que je disais: tu ne feras jamais carrière dans la pub (surtout pas chez Georgia)!! ^^

Les commentaires sont fermés.

Articles similaires

Commencez à saisir votre recherche ci-dessus et pressez Entrée pour rechercher. ESC pour annuler.

Retour en haut