Tanuki to Kame se sentent petits soudainement

Après s’être bien rempli l’estomac avec les succulents okonomiyaki d’Okaru, on a fait quelques photos cracra du temple Kofukuji (興福寺) et du sanctuaire Himuro avec son magnifique cerisier pleureur.

 

Il était grand temps de passer aux choses sérieuses avec la visite du point d’attraction de Nara ; là où tous les touristes et les biches sont : le Tôdai-ji avec sa grande porte d’entrée : la Nandai-mon.

J’en profite pour faire gratte gratte sur la tête d’une biche en espérant ne pas attraper des puces.

La porte était impressionnante, le Tôdai-ji en lui-même n’est pas mal non plus (même s’il parait qu’il est plus petit que l’original… qui a brûlé bien-sûr). Attention on sort les superlatifs pour l’occasion : il s’agit de la plus grande structure en bois du monde avec ses 48,6 mètres de haut, 57,3 mètres de long et 50 mètres de large (et pourtant elle n’est qu’une reproduction au 2/3 de l’original) et abrite accessoirement la plus grande statue de Bouddha du monde : 16,2m de haut et des yeux qui m’arrivent à la taille (ie 1m). Il y a de quoi avoir mal au cou à force de lever le nez.

Pour reprendre nos esprits, rien de mieux qu’une bonne marche dans la forêt où il y a… des temples et des biches (Tada !)
Le Nigatsu-dô (二月堂) tombe à pic quand la saucée nous tombe dessus.

Et à partir du Kasuga-Taisha (春日大社), on se met à compter les lanternes (il y en a plusieurs centaines aussi bien à l’intérieur (1000) du temple qu’à l’extérieur (2000)).

 

Sur ce nos jambes ont commencé à réclamer un loop bus pour retourner à la gare alors un dernier coucou à une biche pas bête du tout et zou retour à l’hôtel.

Le reste :